Le programme de l'insuline- Intelligent pour l’extension de la vie
L'une des grandes percées médicales de la fin de ce siècle est la découverte du rôle de l'insuline dans la santé et la maladie. Alors que beaucoup sont familiers avec l'insuline le sort du diabétique, peu se rendent compte du potentiel de prolonger la vie étonnante que les niveaux d'insuline optimale faibles peuvent avoir. Des études ont montré que les niveaux d'insuline inférieurs peuvent favoriser la perte de graisse rapide, augmenter l'énergie, améliorer la clarté mentale, le vieillissement lent, abaisser la pression artérielle, d'améliorer le taux de cholestérol et la santé globale, et de générer un sentiment virtuel du bien-être euphorique.
Comment cela peut-il être accompli? Grâce à une approche simple pour l'alimentation, l'exercice et les suppléments, et avec un médicament de prolongation de la vie de la metformine. Ensemble, ces mesures permettent des niveaux d'insuline à baisser et l'espérance de vie à la hausse. Mais avant la façon dont vient la raison pour laquelle, ainsi que quelques informations de base importantes.
L'insuline - Vieillissement Equation
Les dernières décennies de recherche ont confirmé que les niveaux d'insuline constamment élevés peuvent être mortels. Ce fait est particulièrement évident dans la population diabétique, qui doit constamment surveiller la glycémie et les niveaux d'insuline pour survivre. Des essais complets montrent maintenant que les niveaux élevés d'insuline sont intimement liées avec les symptômes du vieillissement, y compris l’obésité, diabète non insulino-dépendant (DNID), les maladies cardiovasculaires, et même le cancer.
L'insuline, parfois appelée l'hormone de transformation du sucre, est essentielle pour le métabolisme du glucose, le stockage et la maintenance. Lorsque la nourriture est consommée, le processus digestif convertit les glucides en glucose, un sucre simple, qui est absorbé dans la circulation sanguine. Le pancréas libère de l'insuline en réponse au glucose dans le sang. L'insuline pénètre ensuite dans certaines cellules et déclenche une série d'événements qui provoque les cellules à absorber le glucose du sang. L'hormone aide aussi d'autres nutriments pénètrent dans les cellules, y compris les vitamines, les minéraux, amino et acides gras. Bien que ce soit le mécanisme normal qui devrait se produire, les gérontologues remarquent une augmentation alarmante de la répartition de ce processus métabolique dans notre population vieillissante.
Annonçant Syndrome X
Comme il se trouve, le problème est au cœur d'un tout nouveau trouble médical connu sous le nom syndrome X (un terme inventé par son pionnier, le Dr Gerald Reaven). La condition est caractérisée par une résistance à l'insuline, la perte progressive de la sensibilité par de nombreuses cellules de tissus périphériques à l’insuline. Le corps répond en produisant encore plus d’insuline, ce qui se traduit par des niveaux élevés d'insuline, le glucose et d’autres éléments nutritifs non absorbés qui circulent dans le flux sanguin.
Résistance à l'insuline peut passer inaperçue pendant jusqu'à 40 ans, jusqu'à ce que soit de graves complications commencent à faire surface ou le pancréas ne peut pas faire face à la demande de l'insuline. Cela se traduit par le NIDDM ou le diabète de type II. Ces diabétiques produisent souvent deux, trois ou quatre fois les quantités normales d'insuline, mais à cause de la résistance à l'insuline, ils ont besoin encore plus d'insuline pour maintenir des niveaux normaux de glucose. Lorsque le pancréas ne peut pas suivre, l'hyperglycémie se produit et le diagnostic du diabète suit souvent.
Certains experts estiment que jusqu'à 50 pour cent des Américains peuvent avoir une résistance à l'insuline à des moments différents, sans le savoir. Il peut rester efficacement caché pendant des années, se faisant passer pour des symptômes d'autres conditions. Ceux - ci peuvent inclure la fatigue, la concentration mentale pauvre, abdominale (en forme de pomme) l’obésité, l’œdème et un désir intense pour les bonbons. Dans les stades avancés, comme dans le 80 ans d' insuline personne résistante qui produit jusqu'à quatre fois la quantité normale d'insuline, une cascade dangereuse d'autres déséquilibres et des maladies métaboliques peut. Suivre
Le syndrome X comprend la résistance à l'insuline elle - même, ainsi que les déséquilibres qui en résultent, qui se produisent souvent dans le même patient. Ceux - ci peuvent inclure les maladies cardiovasculaires, le diabète de type II, l’obésité, l’hypertension, l' hyperuricémie (acide urique), et le déclin mental.
Quelles sont les causes résistance à l'insuline?
Alors que le vieillissement est peut-être la cause la plus universelle de résistance à l'insuline, notre mode de vie occidental moderne fait beaucoup pour accélérer sa progression par la consommation excessive de sucre. Il y a moins de deux cents ans, la consommation de sucre par habitant en moyenne seulement cinq livres par an. Aujourd'hui, les Américains mangent plus de 20 fois ce montant, à environ 115 livres par personne et par an. D'autres facteurs qui contribuent à la maladie comprennent la suralimentation, les carences en minéraux, la consommation d'aliments transformés et raffinés, l'alcool, le tabagisme et le manque d'exercice physique.
Tableau 1: Facteurs contributifs à résistance à l'insuline
Vieillissement
Consommation d'alcool
Haut Sugar & Refined Glucides Diet
Irrégularités Mineral
Les aliments transformés
Mode de vie sédentaire
Fumeur
Comment l'insuline provoque l'obésité?
Malgré l'obsession nationale avec le contrôle du poids, nous sommes plus gros que jamais. En fait, plus d'un tiers des adultes américains sont obèses; mais sa cause majeure, la résistance à l'insuline, reste largement négligée par la communauté médicale et un mystère non résolu ceux qui en souffrent.
Lorsque les niveaux d'insuline et de sucre dans le sang élevé prévalent, la lipogenèse (production de graisse et de stockage) et la synthèse des triglycérides sont également stimulés. Pour compliquer le problème, il est prouvé que les niveaux élevés d'insuline déclenchent hypothalamus (la «glande maîtresse») pour envoyer des signaux de la faim. En conséquence, la personne résistant à l'insuline, non seulement a faim plus souvent, mais produit et dépôts individus gras plus facilement que la santé.
Le problème peut être exacerbé par ce qui est connu comme l'effet Randle: la compétition entre le glucose et l’utilisation des acides gras. Dilman décrit comme suit: «Bien que les graisses brûlent dans la flamme de glucides, les glucides ne brûlent pas dans la flamme des graisses." Selon la Dilman, lorsque les macro-nutriments sont consommés ensemble, les acides gras sont utilisés comme combustible, tandis que le corps agit rapidement pour convertir les glucides en glucose et le glucose dans les graisses stockées. Ainsi, la, personne résistant à l'insuline obèses est souvent pris dans un cycle sans fin de la faim, les fringales de glucides, la consommation excessive de nourriture, suivie par l'augmentation inévitable de la glycémie, l’insuline, le corps des dépôts de graisse, et le cycle visqueux commence à nouveau.
La connexion cardiovasculaire-insuline
D’importantes études montrent que les niveaux élevés d'insuline en circulation sont liés à l'épidémie dévastatrice de maladie cardiaque. L'étude finlandaise Helinski Policeman, l' une des premières études épidémiologiques démontrant une association entre les niveaux élevés d'insuline et le risque de maladie coronarienne (CHD), suivi 970 hommes âgés de 34 à 64 ans qui étaient initialement libre de CHD, d'autres cardiovasculaires la maladie ou le diabète. Pendant 22 ans de suivi, 164 hommes avaient eu un événement cardiovasculaire majeur (crise cardiaque fatal ou non), ce qui correspond directement avec les niveaux d'insuline plus élevées. L'étude prospective Paris, qui a suivi 7152 hommes pour une moyenne de 63 mois, a également constaté une relation directe entre l’insuline élevée et la maladie coronarienne. Cette relation était encore plus prononcée chez ceux qui étaient obèses.
Une autre étude dans le New England Journal of Medicine a montré que les personnes ayant une tolérance au glucose normale et des niveaux élevés d'insuline étaient à une plus grande pour la maladie de l’artère coronaire, en comparaison avec un groupe de personnes en bonne santé. (2) D' autres essais démontrent en outre le lien entre la résistance à l'insuline et d' autres facteurs de risque cardiovasculaire, y compris l' athérosclérose cardiovasculaire, l' hypercholestérolémie et de triglycérides, et l' hypertension.
Tableau 2: Suivez le programme Life Extension Insulin-Smart
pour éviter ces facteurs de risque
athérosclérose
Maladie cardiovasculaire
Cancer (certains types)
triglycérides élevées
Elevated Acide urique
L'intolérance au glucose
Taux de cholestérol élevé
Hypertension
Low HDL, LDL élevé
Non-insulino-dépendant (DNID)
Obésité
Diabète: Fin Résistance à l'insuline étape
Le diabète affecte plus de 135 millions de personnes à travers le monde, et toutes les trois minutes une matrice américaine de la maladie. Le nombre d'Américains avec NIDDM ou le diabète de type II a triplé au cours des 15 dernières années, et représente jusqu'à 95 pour cent de tous les cas de diabète. L’hypoglycémie réactive, l'hyperglycémie (pré-diabète) et DNID peuvent être tous différents stades de la même condition: la résistance à l'insuline.
En grande partie le résultat de l’alimentation et le mode de vie, DNID a également été appelé avancée, extrême, ou la résistance à l'insuline en phase terminale, et les scientifiques sont de plus en plus classer la condition que l’apparition précoce ou le vieillissement prématuré. Étant donné que la tolérance au glucose diminue progressivement avec l’âge, à 70 ans presque tout le monde développe un certain niveau de diabète.
Le patient type II produit souvent des quantités massives d'insuline, qui ne sont pas encore assez pour laisser le glucose dans les cellules périphériques. Le glucose élevée résultant pénètre non-insuline des tissus à charge (de la lentille de l'œil, le nerf et l'artère), provoquant une traînée dommageable de pannes biologiques, y compris la cécité, des lésions nerveuses, une mauvaise circulation, les lésions artérielles, l'insuffisance rénale, la gangrène, amputation d'un membre, et, finalement, une mort prématurée.
La solution commence par le régime glycémique faible
La solution de résistance à l'insuline commence par un développement relativement récent dans l'évaluation des aliments appelé l'index glycémique. L'indice est un système de notation alimentaire basé sur l'effet d’un aliment particulier a le taux de sucre sanguin. Les aliments qui causent une augmentation rapide de la glycémie et donc une libération excessive d'insuline, sont "glycémique élevé." A l’inverse, « à faible indice glycémique" aliments favorisent une libération plus lente soutenue du glucose et de l'insuline.
L'index glycémique (IG) n’est pas une science exacte, étant donné que les chiffres sont compilés à partir d'un large éventail d'études de recherche. Cependant, en général, le glucose est donné une valeur de 100, et d’autres aliments riches en glucides sont évalués par rapport à lui. Par exemple, la crème glacée a un IG de 50, ce qui signifie qu'elle produit la moitié de l'augmentation de sucre dans le sang sous forme de glucose.
Il peut sembler que tous les aliments riches en glucides simples et raffinés ont un indice glycémique élevé, alors que tous les aliments riches en glucides complexes (en particulier ceux riches en fibres) ont un faible indice glycémique. Mais ce n'est pas le cas. En fait, certains légumes et des céréales comme les carottes, les pois, les pommes de terre, et exposition de riz, un index glycémique étonnamment élevé. Ces aliments produisent une augmentation rapide de la glycémie similaire à sucre de table. Tout aussi inattendue est le fait que certains sucres simples comme le fructose ont un indice glycémique plus faible que de nombreux légumes, les céréales et les légumineuses (voir le tableau 3). Il est important de noter que tandis que le fructose ne dispose d'une faible cote de la glycémie, il peut encore induire une résistance à l'insuline, augmenter les triglycérides, et de promouvoir le stockage des graisses.
Tableau 2: Tableau 3: Indice
glycémique de Select Foods
(avec du glucose comme la norme de comparaison) |
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ALIMENTS
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GI
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Glucose
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100
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Pommes de terre, au four
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98
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Carottes, cuites
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92
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Le riz blanc, instantané
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91
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Flocons de maïs
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84
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Miel
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74
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Pain, blanc
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72
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Le pain de blé
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69
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Le sucre de table
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65
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Betteraves
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64
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banane
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53
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Pois verts
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51
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Crème glacée
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50
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haricots pinto
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42
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Pâtes
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41
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Pommes
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39
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Tomates
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38
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Yogourt, nature
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38
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Cacahuètes
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23
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Fructose
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20
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Le faible régime glycémique souligne les aliments avec une cote glycémique plus faible. En général, les légumes non féculents ont un indice glycémique faible et devrait être la pierre angulaire d'un programme d'extension de vie équilibrée. Les protéines et les graisses sont également des choix optimaux car ils ne contiennent pas d'hydrates de carbone et donc pas d'index glycémique.
Pour plus d'informations sur l'index glycémique des aliments, veuillez communiquer avec l'Institut de recherche Glycémique 601 Pennsylvania Avenue, NW, Washington, DC 20004.
Dietary Résultats cétose Accélère
Certains experts de la prolongation de la vie prennent l'approche glycémique faible à l'extrême - avec d'excellents résultats. Très bas régimes d'hydrate de carbone tels que le régime alimentaire bien connu Atkins produisent un état de cétose alimentaire bénigne (BDK), qui a été trouvé pour avoir un effet exceptionnellement rajeunissant sur le terrain biologique. La consommation d'une trentaine ou moins de glucides par jour peut favoriser une myriade d'avantages, y compris la longévité et la perte de poids, et le renversement beaucoup des conditions associées au vieillissement. Le régime BDK a tous les avantages du régime alimentaire à faible indice glycémique, et aussi compenser les fringales, décourage les infections à levures (candida), les troubles de l’humeur des soldes, et renverse les maladies cardiaques.
Être en cétose est le moyen le plus rapide, la plus sûre et plus saine pour contrôler l' hyperinsulinisme et de brûler la graisse corporelle en excès. La clé de son efficacité est un changement dans l'alimentation en carburant de l'organisme. Plusieurs études ont montré que l' apport en glucides est suffisamment abaissée, les changements du métabolisme d'un approvisionnement en énergie à base de glucose à celui qui utilise la propre graisse du corps. Ce mécanisme, appelé lipolyse, se produit pendant le sommeil, le jeûne, et quand les niveaux d'insuline sont bas.
Au bout de deux jours sans hydrates de carbone, l'absence de glucose induit des taux plus faibles d'insuline qui provoquent le décalage du métabolisme souhaitable. Comme lipolyse commence, le corps entre en cétose. Tout d'abord, les graisses (triglycérides) sont divisés en glycérol et acides gras libres.Ceux-ci sont ensuite décomposés en composés simples appelés corps cétoniques, qui à leur tour sont utilisés en tant que combustible par le cerveau et le muscle.
Le degré d'utilisation des graisses peut être déduit par la mesure de sang ou d'urine des niveaux de cétones. Le niveau de cétones dans l'urine peut être mesuré à la maison avec Ketostix, qui sont disponibles sans prescription (OTC) à la pharmacie. Un léger état de cétose se traduit par une couleur de pêche clair. Les plus cétones qui sont libérés, le plus profond de l'état de cétose, et le plus sombre de l'ombre du bâton. Violet, qui reflète l'état le plus profond de la cétose, indique également que la perte de graisse maximale se produit. Toutefois, depuis la prise d'eau insuffisante peut provoquer l'urine concentrée (et la fausse impression de cétones élevées), il est important de boire beaucoup d'eau en suivant ce régime.
La base de l'alimentation BDK est des protéines, des graisses et très faibles aliments contenant des glucides, avec repas composé d'œufs, le poisson, la volaille, la viande, le fromage, la crème de lait, les légumes non féculents, des herbes et des épices. Le petit déjeuner peut consister en une omelette d'œufs et le fromage avec un côté de bacon; déjeuner, une salade de thon avec des verts et vinaigrette crémeuse; et pour le dîner, le steak et le homard trempé avec du beurre et un côté de sautées brocoli. Il est étonnamment simple à suivre, et est satisfaisant aussi bien.
Mettre fin à la Fat Mythe
Avec tout le battage sur les régimes alimentaires faibles en gras, les Américains ont été endoctrinés que toute quantité de graisse est dangereux pour la santé, le poids corporel et la longévité. Ce ne sont pas tout à fait vrai. En fait, il est de plus en plus clair que les glucides raffinés sont les vrais délinquants, alors que beaucoup de graisses (surtout en l'absence d'hydrates de carbone) peuvent effectivement améliorer et prolonger la vie.
En fait, la plupart des graisses sont un allié sur ce régime. Ils donnent une saveur et la satiété, induisent la cétose; et certaines graisses saturées, telles que l'huile de noix de coco peut effectivement accélérer la perte de poids. L'huile de coco est naturellement riche en triglycérides à chaîne moyenne (MCT), qui ont été montrés pour accélérer la perte de graisse. Les graisses à éviter sont les acides gras trans produits lors de l'hydrogénation (Crisco et margarine), ainsi que ceux qui sont oxydés (trop chauffé ou gâté).
Étant donné que tous les besoins nutritionnels sont satisfaits par la portée de ce régime, les suppléments suivants sont recommandés: le calcium, la vitamine C, le chrome, le sulfate de vanadyle, les fibres alimentaires (psyllium), les régulateurs d'homocystéine, GLA, huiles oméga-3, de la lécithine, et spectre complet de la formule de vitamines et minéraux multiples. Ceux - ci devraient être pris quotidiennement avec des repas pour de meilleurs résultats.
L'exercice améliore les résultats
L’exercice physique régulier peut reconstituer la vitalité et de promouvoir une vie plus saine en augmentant la sensibilité à l'insuline et la promotion de l’absorption du glucose dans les muscles squelettiques. Cela a été confirmé par de nombreuses études, dont une récente étude réalisée en Suède. Cette étude a démontré que les jeunes présentaient une meilleure sensibilité à l'insuline après une seule séance d'exercice! Pour ceux qui étaient d’âge moyen ou plus âgés, le même avantage a été confirmé après seulement quelques séances de formation.
L'étude a également montré que les deux l'entraînement aérobie et la force d'améliorer sensibilité à l'insuline du corps entier dans une mesure similaire. Les auteurs expliquent que l'exercice peut stimuler certaines hormones sexuelles, qui à son tour potentialise la réponse insulinique. L'exercice physique augmente également les taux d'une protéine transporteur de glucose GLUT-4 appelée, renforce le réseau capillaire musculaire, réduire la graisse corporelle, la pression sanguine et du cholestérol LDL.
Compléments alimentaires qui améliorent la sensibilité d'insuline
Le chrome et le vanadium sont deux oligo-éléments qui se sont révélés avoir un effet remarquablement positif sur les niveaux d'insuline et de sucre dans le sang. Des études montrent de plus en plus que lorsque les niveaux de chrome de plasma sont faibles, l'intolérance au glucose augmente; et de faibles teneurs en chrome sont directement liés à une hyperglycémie, l'hyperinsulinémie et les maladies cardiovasculaires.
Le chrome est le composant unique de la molécule du sang de régulation de sucre appelé tolérance au glucose Factor (GTF). GTF travaille étroitement avec de l'insuline pour faciliter l'absorption du glucose dans les cellules, aide réellement être plus efficace.
La supplémentation en chrome adéquate améliore considérablement la sensibilité à l'insuline, les niveaux de sucre dans le sang, et la longévité (chez les rats de laboratoire). Il peut également être un agent efficace contre les troubles lipidiques sériques. Bien que plusieurs types de suppléments de chrome sont disponibles, la recherche la plus convaincante est le picolinate de chrome et de chrome polynicotinate. Les meilleurs résultats sont obtenus en prenant 400 -800 mcg. par jour.
Le vanadium est important car il a été démontré que pour imiter efficacement l’insuline. Selon les recherches menées à l'Université de la Colombie - Britannique à Vancouver, des doses suffisantes de sulfate de vanadyle (une forme du minéral) complètement éliminé le diabète chez les animaux de laboratoire. D’autres études humaines montrent des avantages thérapeutiques similaires dans le traitement du diabète.
Vanadium supplémentation semble avoir d’autres effets bénéfiques. Lorsque les animaux de laboratoire ont été nourris avec de grandes quantités de fructose, le taux d'insuline accrus. Après la supplémentation de vanadium, non seulement ont fait leurs concentrations plasmatiques d'insuline diminuent de façon significative, mais les animaux ont également montré une meilleure tolérance au glucose et la synthèse du cholestérol inhibée. Vanadium peut être trouvé dans les grains entiers, le soja, les crustacés, les champignons, le poivre noir, l’aneth et le persil; cependant, les niveaux alimentaires trouvés dans les aliments ne semblent pas être pertinentes pour l’utilisation du glucose. Afin de tirer les avantages thérapeutiques, la supplémentation quotidienne de 50 à 150 microgrammes est nécessaire.
Metformin - La drogue Life Extension plus sous-estimé?
Selon Ward Dean, MD, la metformine peut être le "plus efficace et sous-estimé prolongation de la vie drogue." Récemment introduit aux États-Unis pour le traitement du diabète de type II, ce biguanide médicament agit en rétablissant l’insuline-sensibilité aux cellules. Son action est similaire à vanadyle sulfate, avec une action plus forte et plus prévisible.
Contrairement aux sulfonylueas qui forcent la production d'insuline par le pancréas (éventuellement la destruction de l'organe), la metformine augmente la sensibilité des tissus périphériques aux effets de l'insuline. Dean note qu'un "effet secondaire potentiel chez les utilisateurs à long terme de la metformine, est que cela peut provoquer la malabsorption de la vitamine B12. Il poursuit en recommandant" que toute personne prenant la metformine complètent également leur régime alimentaire généreusement avec de la vitamine B12. "Diabète, ce biguanide médicament agit en rétablissant l’insulino-sensibilité aux cellules. Son action est similaire à vanadyle sulfate, avec une action plus forte et plus prévisible.
Metformin est chimiquement lié à la phenformine, un médicament anti-diabétique qui a été abandonnée aux États-Unis en 1976, après un certain nombre de décès chez les patients diabétiques. Bien que le médicament était sans danger pour la plupart des diabétiques, les médecins mal informés ont contribué à sa chute en administrant aux patients avec le foie compromise et la fonction rénale.
La metformine, un médicament beaucoup plus sûr plus récent, porte un grand nombre des mêmes avantages que la phenformine. Selon Dilman, ceux - ci comprennent abaissé le taux de cholestérol, de triglycérides et lipoprotéines bêta, réduit le développement de l’athérosclérose, les niveaux d'insuline réduite, une sensibilité accrue hypothalamo-hypophysaire (diminue avec l’âge), l’amélioration de l'immunité cellulaire, réduction de l’incidence du cancer induite chimiquement chez le rat, diminution de la croissance de certaines tumeurs, et une meilleure action de certains médicaments anti-cancéreux. Plus important encore, la phenformine (et vraisemblablement la metformine) a augmenté la durée de vie des animaux de laboratoire. Selon Dean, la plupart des adultes souffrent de "subclinique" diabète. Il recommande le médicament à tous ses patients de prolongation de la vie de plus de 40 à une dose de 500 mg deux fois par jour.
Life Extension, perte de poids, la clarté mentale, et de l'énergie
Une approche globale de la résistance à l'insuline nécessite une compréhension de ses multiples aspects et la nécessité accrue pour les interventions nutritionnelles et de style de vie. L'utilisation de l'alimentation, l'exercice, les suppléments nutritionnels et des médicaments tels que la metformine sont essentiels non seulement pour rétablir l'équilibre métabolique, mais pour l'inversion de l'âge biologique et l'extension de la vie aussi bien. Le programme suivant est recommandé pour des résultats optimaux.
1. Suivre un régime alimentaire à faible indice glycémique ou BDK
2. Exercice régulier
3. Prenez 200-800 mcg de chrome et de 50-150 mcg de vanadium par jour
4. Prendre 500 mg de metformine deux fois par jour
REMARQUE: Puisque l'information concernant l'utilisation de la metformine en l'absence d'hydrates de carbone est limitée, nous ne pouvons pas vous recommandons de prendre la metformine en suivant le régime alimentaire BDK. En outre, ce programme doit être soigneusement surveillé par un professionnel de la santé agréé et / ou la vie prolongation médecin.