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jeudi 11 octobre 2018

8 signes prouvant que vos collègues vous détestent


8 signes qui prouvent que vos collègues vous détestent

Vos collègues de travail vous aiment-ils vraiment ? Si vous vous posez la question, c'est qu'il y a peut-être anguille sous roche. Pour savoir décoder leur attitude, fiez-vous à ces indices qui ne trompent pas.

Huit heures par jour, cinq jours par semaine, 47 semaines par an : si on fait le compte, on passe plus de temps à côtoyer nos collègues que notre famille ou nos amis. Quand la concorde règne au bureau et que tout le monde s'entend bien, ça peut être super. Mais quand des tensions apparaissent, ça peutussi devenir l'enfer. Le problème étant que, contrairement à nos amis ou à notre partenaire, on choisit rarement les personnes avec lesquelles on travaille et que de l'animosité peut vite se faire sentir. Si vous vous demandez encore si vos collègues vous apprécient ou non, fiez-vous aux 8 signez listés ci-dessous.

Ils vous ignorent

Si en arrivant le matin, vous ne trouvez jamais d'écho à votre "bonjour" chaleureux, c'est sans doute qu'il y a un truc qui coince quelque part. Ce n'est pas non plus bon signe si vous devez attendre trois plombes avant d'avoir une réponse à une banale question comme "Vous avez passé un bon week-end ?".
Ils vous tiennent à l'écart des potins

Les couloirs de bureaux sont indéniablement un lieu propice à la propagation de rumeurs. Et il faut bien l'avouer, discuter des derniers gossips autour de la machine à café peut être sacrément chouette. Mais si vous êtes perpétuellement mise à l'écart de ces échanges de ragots ou –pire- que les discussions feutrées de vos collègues s'interrompent à votre arrivée, c'est très certainement qu'elles ne veulent pas que vous entendiez ce qu'elles disent. Voire que vous êtes le sujet de leur discussion secrète.

Vous déjeunez souvent toute seule

Bizarrement, vos collègues ont toujours un truc de prévu le midi. Quand ce n'est pas une séance à la salle de sport, c'est un déj' avec une copine à l'extérieur ou avec un autre collaborateur. Résultat : vous finissez très souvent par manger seule devant votre écran.

Ils ne répondent jamais à vos mails

Même ceux demandant expressément une réponse. Mais vous avez trouvé la parade : désormais, vous mettez votre boss en copie des échanges les plus importants. C'est un peu fourbe mais ça fonctionne.

Ils ne sont jamais d'accord avec vous

Avoir des désaccords avec des collègues, ça peut arriver. Mais ce qui est curieux, c'est qu'avec les vôtres, tout ce que vous dites est sujet à discussion, de votre opinion sur la stratégie de com' à celle sur le dernier épisode de Stranger Things, sans parler de votre avis sur les lasagnes servies ce midi au restaurant d'entreprise.

Vous êtes la dernière à choisir les dates de vos vacances

Alors que vos collègues s'octroient chaque année un mois de vacances complet en août, vous vous demandez encore comment cela se fait que vos propres congés tombent, au choix, en juin ou fin septembre. Ne cherchez plus : c'est simplement parce qu'ils ne vous consultent pas lorsqu'ils mettent main basse sur le planning des congés.

Ils ont l'air exaspéré

Enfin, cela demande une petite précision : ils ont l'air exaspéré à chaque fois que vous ouvrez la bouche ou que vous vous manifestez d'une quelconque manière que ce soit. Cela vaut aussi pour les roulements d'yeux au ciel et les soupirs d'énervement. Si vous en êtes arrivée à ce stade-là, pas de doute : vos collègues ne vous aiment pas et, plutôt que de rester à ce poste qui vous rend malheureuse, peut-être devriez-vous songer à chercher un autre job ailleurs, là où vos qualités professionnelles et humaines seront enfin reconnues.

5 signes subtils prouvant qu'un enfant est précoce

5 signes subtils qui prouvent qu'un enfant est précoce
Un enfant précoce n'est pas forcément bon à l'école, c'est souvent même plutôt l'inverse. Mais alors, si l'on a un doute, comment déceler si un enfant est "surdoué" ?
Selon la National Association for Gifted Children (Association nationale pour les enfants surdoués américaine), "les personnes surdouées sont celles qui démontrent des aptitudes exceptionnelles (une aptitude exceptionnelle à raisonner et à apprendre) ou leur compétence dans un ou plusieurs domaines (par exemple, les mathématiques, la musique, le langage), et/ou un ensemble de compétences sensori-motrices (par exemple, la peinture, la danse, le sport)".
Pour autant, distinguer un enfant intelligent d'un enfant "à haut potentiel"n'est pas toujours aisé pour les parents. D'autant que s'il se trouve dans la deuxième catégorie, s'il excelle sans doute dans certains domaines, il ne réalise pas nécessairement de prouesses à l'école, ou du moins, pas dans toutes les matières. Cependant, comme le rapporte Sheknows, certains signes devraient toutefois vous alerter.
1- Son comportement en classe
Si votre enfant adopte un comportement perturbateur dans la salle de classe, cela pourrait être un gage de sa précocité. "Beaucoup d'enfants surdoués trouvent la routine d'apprentissage ennuyeuse durant l'école primaire, si bien qu'ils vont ressentir le besoin de s'exprimer, de parler à des amis et de faire d'autres choses qui stimulent leur esprit mieux que d'additionner 2 + 2 encore et encore", relève la psychologue américaine Kathryn Esquer.
2- Ses (mauvaises) notes
Les enfants à haut potentiel ne sont pas toujours les premiers de la classe. "La plupart des gens pensent que l'enfant précoce est doué partout et qu'il excelle sur le plan académique. Pourtant, souvent l'enfant surdoué a du mal à l'école", déclare le Dr Gail Saltz, psychiatre et auteur de The Power of Different. "Un enfant surdoué peut exceller dans un domaine, mais peiner dans un autre (...) se focalisant sur une chose au détriment des autres parce qu'ils sont absorbés et doués dans ce domaine et qu'ils prennent plaisir à s'y immerger." Les mauvaises notes sont donc peut-être un signe qu'il s'ennuie ou qu'il préfère s'investir pleinement dans un autre domaine.
3- Sa frustration
La disparité entre son développement mental et physique peut conduire un enfant "intellectuellement précoce" à la frustration, qui peut parfois passer pour de la colère. "Les enfants surdoués ont tendance à penser très vite et leur petit corps ont du mal à suivre", constate le Dr Esquer. "A titre d'exemple, un enfant travaillant sur un problème mathématique chronométré arrivera à calculer les réponses dans sa tête rapidement, mais ses compétences motrices fines seront moins développées. Et il pourrait être frustré de ne pas réussir à écrire les réponses aussi rapidement qu'il peut résoudre le problème".
4- Son côté solitaire
Les enfants surdoués ont souvent davantage de connexion avec les adultes et les enfants plus âgés qu'avec les enfants de leur âge avec lesquels ils peinent à échanger, leurs centres d'intérêts étant rarement les mêmes. Un comportement qui peut les rendre un peu solitaires à l'école, comme l'explique la psychologue Kathryn Esquer. D'ailleurs, "les enseignants et parents ont tendance à considérer les enfants surdoués comme des 'mini-adultes'", ajoute-t-elle.
5- Son caractère anxieux
Autre caractéristique des enfants à haut potentiel : ils sont souvent dotés d'une sensibilité exacerbée qui va généralement de pair avec une certaine anxiété. En effet, un enfant surdoué peut facilement basculer dans l'anxiété parce que sa capacité intellectuelle dépasse sa capacité de développement psychologique à gérer ses sentiments, ainsi que l'explique le Dr Gail Saltz. En outre, "les enfants doués ont tendance à prendre des critiques plus personnellement que leurs pairs" conclut Kathryn Esquer. 
Vous reconnaissez votre enfant dans l'un ou plusieurs des signes ci-dessus ? Faites-le dépister par le biais d'un test de QI, le plus souvent le WISC, auprès du psychologue de l'école ou bien d'un spécialiste. Si les résultats confirment sa précocité, peut-être faudra-t-il envisager de l'inscrire dans un établissement spécialisé afin qu'il s'y épanouisse plus pleinement, bénéficiant d'un cadre et de cours mieux adaptés à lui.

9 signes qui révèlent que c'est la bonne personne

Trouver l'âme sœur: 9 signes qui révèlent que c'est la bonne personne (si vous croyez en ce genre de choses)
Il suffit de prononcer le mot "âme sœur" en société pour voir aussitôt certaines personnes écarquiller les yeux. L’idée qu’il existe un être magique, juste pour vous, dont vous allez tomber amoureux instantanément et qui ne vous contredira jamais est une illusion.
La personne qui existe vraiment, du moins pour la plupart des gens, est celle que vous devinez d’instinct, avec qui vous communiquez en profondeur et qui vous permet de vous épanouir en tant qu’être humain au sein de la relation. S’il se trouve que cette personne est votre compagne ou compagnon, alors c’est que vous avez fait une rencontre vraiment spéciale.
Alors, à quoi reconnaît-on que l’on a trouvé "la" personne qu’il nous faut? Une équipe de spécialistes de l’amour et des relations vous en exposent ici les signes révélateurs.
1. Vous communiquez sans avoir besoin de parler
Les âmes sœurs peuvent lire dans les pensées de l’autre comme dans un livre ouvert. "Elles communiquent profondément à tous les niveaux de l’humain" comme l’a expliqué au Huffington PostDr Carmen Harra, psychologue clinicienne et spécialiste des relations humaines. "L’une d’elles finira la phrase de l’autre, elles s’appellent au téléphone au même moment, ou ne peuvent tout simplement pas se passer l’une de l’autre."
Dr Sue Johnson, psychologue clinicienne et auteur du livre Love Sense, nous a indiqué qu’une âme sœur sait aussi répondre à vos signes émotionnels. "Elle est proche de vous lorsque vous vous confiez, vous donne toute son attention et devance vos demandes, vous caressant la main pour vous rassurer, vous souriant et vous serrant dans ses bras quand vous êtes content, et vous réconfortant tendrement lorsque vous vous sentez mal," a-t-elle ajouté.
2. Vous êtes sûr au fond de vous que vous avez trouvé "la" personne
Le vieil adage qui dit "Quand on sait, on sait" sonne juste quand il est question de l’âme sœur. "Il n’y a pas besoin de jouer aux devinettes ou de se poser des questions quand nous rencontrons l’âme sœur", a révélé au Huffington Post la Révérende Laurie Sue Brockway, auteur, qui célèbre des mariages. "On perçoit habituellement un signe révélateur qui nous prévient que le véritable amour est là – une petite voix dans votre tête, un sentiment de reconnaissance, ou une conviction profonde que la personne que l’on vient de rencontrer est 'la' bonne personne."
3. La chimie opère
… et le courant électrique qui vous parcourt n’est pas juste de nature sexuelle. "Tenir la main de votre âme sœur projette votre esprit dans un tourbillon, même au bout de plusieurs années," a ajouté Dr Carmen Harra.
4. Vous vous sentez totalement à l’aise avec votre âme sœur dès le premier jour
D’entrée de jeu, les âmes sœurs communiquent sans aucune gêne et révèlent leur vraie nature sans crainte d’être jugées. "Les âmes sœurs ressentent souvent quelque chose de familier chez l’autre et se sentent immédiatement à l’aise," a poursuivi la Révérende Laurie Sue Brockway. "Beaucoup de gens avouent qu’il est plus facile de se relaxer avec cette personne et de pouvoir aussi laisser aller sa vulnérabilité."
"C’est celle qui s’ouvre à vous, qui vous laisse venir à elle, en tout transparence," a ajouté Dr Sue Johnson. "C’est le genre de personne qui n’hésite pas à prendre des risques et partage avec vous son monde intérieur, ses émotions et ses besoins."
5. Mais la relation n’est pas toujours paradisiaque. Il ou elle vous lance des défis comme personne d’autre
La relation avec l’âme sœur, malgré ce que les gens peuvent en penser, n’est pas toujours un long fleuve tranquille. "L’âme sœur n’atteint pas toujours à la perfection, d’un point de vue physique ou en termes de situation personnelle; la relation ne se poursuivra pas toujours sans remous non plus." a déclaré Kailen Rosenberg, auteur, de l’agence de rencontres The Love Architects. "En fait, la différence est que les situations personnelles et les grands défis créent une fabuleuse énergie qui cimente votre relation malgré les épreuves et aide chacun à exprimer le meilleur de soi-même."
De plus, nous pouvons nous appuyer sur notre âme sœur pour évoluer en tant que personne. "Vous pouvez trouver qu’une relation d’âme sœurs est tendue et que votre partenaire vous provoque et envenime la situation au début parce qu’il ou elle vous donne quelques leçons difficiles à accepter" a affirmé la Révérende Laurie Sue Brockway.
6. Vous n’avez pas toujours la même vision de certains détails, mais vous regardez dans la même direction pour ce qui est important
"Une relation d’âme sœurs ne signifie pas que les deux partenaires partagent toujours la même opinion, mais que leurs objectifs et leurs ambitions concordent," a affirmé Dr Carmen Harra. "Les âmes sœurs peuvent avoir des avis différents sur des sujets sans importance, mais elles réunissent en général des qualités et des valeurs identiques, et regardent le monde avec les mêmes yeux."
7. La relation apporte aux deux partenaires un sentiment d’apaisement
C’est évident que lorsque l’on n’est pas avec la bonne personne, on ne se sent pas en sécurité dans la relation et que l’on craint qu’au moindre faux pas notre partenaire nous quitte. Ce n’est pas le cas des âmes sœurs.
"Vous êtes sûr que votre partenaire ne vous quittera pas de sitôt" a déclaré Tracey Steinberg, spécialiste en rencontres et auteur de Flirt for fun and Meet The One. "Peu importe ce qui se passe dans vos vies, vous savez que vous faites équipe et partagez tout." Elle a poursuivi: "Votre voix intérieure vous dit que vous vivez une relation saine. Vous avez confiance l’un en l’autre, vous vous sentez à l’aise et ne craignez pas d’aborder des sujets délicats avec maturité."
8. Vous et votre partenaire êtes des entités différentes mais affrontez le monde comme un être unique
"Les âmes sœurs reconnaissent qu’elles forment deux parties d’un tout, et rien ni personne ne viendra briser ce lien", a indiqué Dr Carmen Harra.
9. Vous vous connaissez depuis des années, mais pouvez retomber amoureux chaque jour
Quand on aborde le sujet de l’amour véritable, le temps prend toute son importance. "J’ai marié tant de gens qui se sont rencontrés à l’école secondaire ou dans leur vingtaine, se sont donné des rendez-vous, ont rompu, ont déménagé ou ont fréquenté le même cercle d’amis sans jamais communiquer", a déclaré la Révérende Laurie Sue Brockway au Huffington Post. "Puis un jour ils tombent l’un sur l’autre, parfois par magie, et tout d’un coup l’amour éclate." Gardez toujours l’esprit et le cœur ouverts pour répondre à votre âme sœur quand elle frappera à la porte.

10 signes qui prouvent que vous êtes en bonne santé

10 signes qui prouvent que vous êtes en bonne santé
Vous vous sentez fatiguée en ce moment ? Vous dormez mal ? Faites un bilan express. Voici 10 signes qui prouvent que vous êtes en forme et en bonne santé.
Etre en bonne santé n'a rien à voir avec une silhouette équilibrée et le poids sur la balance. Il existe tout un tas de petits signes qui permettent d'apprécier si vous êtes en forme... ou pas. Que cela soit ces boutons relous dont vous avez du mal à vous débarrasser à votre vie sociale, voici les signaux à examiner (et à améliorer) pour avoir un rapide panorama de votre équilibre mental et physique.
Votre urine est claire
Si vous êtes bien hydratée, votre urine devrait être jaune très clair voire transparente. C'est signe que vos reins fonctionnent convenablement. Si votre pipi est foncé, jetez-vous sur un verre d'eau ou concoctez-vous un thé, même si vous ne ressentez pas de soif. Un organisme bien hydraté est synonyme de bonne santé.
Vos règles sont régulières
Un cycle régulier se compte entre 21 et 35 jours, donc si vos règles tardent à débarquer, penchez-vous sérieusement sur le sujet. Des menstruations mensuelles, qui durent entre deux et sept jours, sont un indice que votre système reproductif fonctionne nickel chrome. 
Vous arrivez à gérer le stress
Pressurisée par le boulot, les sorties théâtre/ciné/verre de l'amitié du vendredi, les enfants à aller chercher à la crèche, cette ampoule à acheter au Franprix avant 20h, vous pourriez frôler le burn-out. Mais vous parvenez pourtant à gérer cette charge mentale. Arriver à gérer ses émotions et son stress au quotidien témoigne d'un bon équilibre mental (et donc physique). Et oui, aller régulièrement consulter un psy régulièrement fait également partie d'un management des émotions sain. S'écouter avant de craquer, voilà un bon réflexe. Félicitations.
Faire du vélo
Votre peau est saine
Vos poussées d'acné ou d'eczema cachent peut-être quelque chose (stress, déséquilibre hormonal, manque de sommeil, abus de junk-food...). Car la peau est notre organe le plus important. Si elle ne montre aucun signe de détresse, c'est que tout roule.
Vous faites du sport régulièrement
Que vous soyez abonnée aux semi-marathons, que vous alliez acheter votre journal à vélo ou que vous fassiez 10 minutes de yoga tous les matins dans votre salon, le réflexe de vous bouger de façon régulière (au moins une fois par semaine) est un signal positif envoyé à votre organisme. Il devrait bien vous le rendre.
Vous mangez calmement
Assise, tranquillement, vous êtes en pleine conscience de ce qu'il y a dans votre assiette et de ce que vous ingurgitez. Ce qui signifie que vous savez vous arrêter lorsque vous êtes rassasiée et que vous ne vous goinfrez pas de façon fébrile et automatique. Vous privilégiez également les fruits et légumeset évitez les cures de bonbecs et autres McDo.
Vous avez des amis
De nombreuses études montrent qu'avoir une vie sociale et amicale épanouie influe positivement sur la santé. Conclusion : abusez des sorties entre potes, acceptez les dîners et filez au ciné avec votre copine Lucie.
Vous tombez rarement malade
Il est bien évidemment normal d'attraper un vilain rhume de temps à autre. Mais si vous enchaînez les grippes et passez votre temps à choper le moindre virus, c'est que votre système immunitaire n'est pas au top. Si vous ne vous rappelez même plus la dernière fois que vous avez pris des médicaments, tout va bien.
S'étirer le matin
Vous allez régulièrement aux toilettes
Aller régulièrement aux toilettes est primordial. Pas uniquement pour votre système digestif, mais pour votre corps tout entier. Aller à la selle tous les jours permet d'évacuer les toxines et d'éviter les inflammations. Sans scruter en détail ce qui se retrouve au fond de la cuvette, veillez à ce que cela ne contienne pas de sang ou que cela ne soit pas liquide. Pour faire court.
Vous dormez sereinement
Si vous avez du mal à vous endormir ou que vous vous réveillez en beau milieu de la nuit quasiment tous les jours, warning ! Un sommeil trop court, irrégulier ou non réparateur (vous avez d'immenses difficultés à émerger le matin ou vous réveillez ultra-fatiguée tous les matins) peut indiquer que vous souffrez d'apnée du sommeil, d'insomnies ou d'un reflux gastrique du sommeil. N'hésitez pas à en parler avec votre médecin.

Pourquoi boire un verre d'eau chaude citronnée ?

Pourquoi vous devriez boire un verre d'eau chaude citronnée ?
Riche en vitamines et antioxydants, simple à préparer... L'eau chaude citronnée est une recette détox idéale à consommer le matin et/ou le soir au coucher.
Que ce soit pour se protéger de la grippe, purifier son estomac ou s'hydrater, l'eau chaude citronnée possède un nombre impressionnant de vertus antioxydantes. Devenu très populaire auprès des stars hollywoodiennes, cette boisson ultra-simple à préparer permet booster le système immunitaire. Consommée le soir avant l'heure du coucher, l'eau chaude citronnée contribue même à améliorer la qualité de notre sommeil.
Si l'eau chaude citronnée fait déjà partie intégrante de vos habitudes diététiques, il existe cependant une astuce à laquelle vous n'avez peut-être pas pensée. En effet, comme l'explique la nutritionniste Geeta Sidhu-Robb au quotidien britannique Daily Mail, le fait de mélanger simplement de l'eau chaude à du citron sans y ajouter un zeste de citron vous ferait perdre des propriétés précieuses attribuées à cette boisson.
Pourquoi ajouter du zeste de citron ?
Le zeste de citron est riche en vitamines, en minéraux et en fibres, comme le calcium, le potassium et la vitamine C. D'après une étude publiée dans le Journal of Clinical Biochemistry and Nutrition, les polyphénols présents dans le zeste de citron pourraient même favoriser la perte de poids.

Comment préparer son eau chaude citronnée ?
Découpez un citron en quartiers, avant de presser le jus dans un verre d'eau chaude ou tiède
Une fois que la majeure partie de la chair du citron a été pressée dans le verre d'eau, ajoutez un zeste de citron et touillez votre breuvage à l'aide d'une cuillère.
Eau citronnée
Quels sont les bienfaits de l'eau citronnée ?
- Elle est faible en calories, riche en vitamines
Les citrons ne contiennent aucune graisse saturée, ni de cholestérol et un simple verre d'eau citronnée contient moins de 25 calories. Par contre, elle est riche en calcium, vitamine C et potassium.
- Elle booste le système immunitaire
Le citron est reconnu pour stimulé le système immmunitaire et protéger des infections.
- Elle purifie le sang
Le citron est un excellent antiseptique naturel bénéfique pour les personnes souffrant de problèmes cardiaques.
- Elle détoxifie
Le citron est un diurétique naturel qui aide le corps à se débarrasser des toxines.
- Elle booste le moral
L'eau de citron aide à oxygéner le corps. Les effets sont immédiats : on se sent plus fraîche et plus légère.
- Elle aide à digérer
Un verre aide à réguler la digestion et est efficace contre les ballonnements.
- Elle purifie la peau
L'acné et les problèmes de peau sont souvent liés à l'alimentation et la digestion. L'eau au citron va donc purifier la peau grâce à son action sur les fonctions digestives.
Quelle est la meilleure heure pour boire son eau citronnée ?
Le soir : Boire son eau de citron chaude avant d'aller se coucher comporte de nombreux bienfaits et permet de détoxifier le corps pendant la nuit. Selon l'experte, "cela aidera à équilibrer naturellement les vitamines, les nutriments et les minéraux du corps pour renflouer ce qui a été utilisé dans la journée. Par ailleurs, cela peut également stabiliser les hormones". Résultat : vous devriez vous lever avec l'impression d'être plus dynamique, régénérée.
Cerise sur le gâteau : Votre potion magique devrait aider vos muscles et ligaments à se réparer tout en aidant le corps à se relaxer.

Le matin : L'eau chaude citronnée est conseillée le matin, puisqu'elle aide le système digestif et stimule le processus d'élimination des déchets. Elle offre une bonne dose d'hydratation à notre corps, qui n'a pas eu sa dose de liquide pendant plusieurs heures.

Risquez-vous un "yoga butt" ?

Risquez-vous un "yoga butt" ?
Le yoga est considéré comme bienfaisant pour le corps et l'esprit. Il n'est pourtant pas sans risque. Et si à force de salutations au soleil, vous contractiez le "yoga butt", une blessure liée au sur-étirement des ischio-jambiers ? Prudence!
En anglais, "butt" fait référence... aux fesses. Un yoga butt par extension fait a priori plutôt rêver. On s'imagine avec un séant ferme et musclé sculpté par de longues heures de vinyasa et de chien tête en bas. Contrairement à ce qu'il laisse entendre, le yoga butt, c'est le petit nom que l'on a donné à une contracture.
Sur le site Well and Good, la doctoresse new-yorkaise Loren Fishman, qui a étudié le yoga avec B.K.S. Iyengar, explique qu'il existe au moins trois types de yoga butts. La douleur peut traverser les ischio-jambiers (les muscles de l'arrière de la cuisse), ressembler à des picots et des aiguilles sur les côtés des mollets et des orteils, ou encore être douloureuse à l'endroit où la cuisse rencontre les fessiers. Cette douleur au fessier est marquée par une inflammation des tendons qui relient les muscles ischio-jambiers à l'arrière de la jambe au bassin, et elle entraîne dans certains cas extrêmes, une déchirure ou une rupture des tendons.
Les causes du yoga butt :
1- Vous avez trop forcé
A force d'abuser de la posture du guerrier (Virabhadrasana), vos ischio-jambiers pressent contre le nerf sciatique, qui s'étend du bas du dos jusqu'à l'arrière de chaque jambe. Si vous avez des lombaires fragiles, faites attention à ne pas vous cambrer et commencer tranquillement en tenant la posture moins longtemps.
2- Vous avez abusé des étirements
Il arrive en yoga ou en stretching que l'on abuse des étirements. Malheureusement, une telle blessure met du temps à guérir. Le mieux dans ces cas-là, c'est de consulter un médecin et de ficher un peu la paix à ses tendons.
3- Vous avez surchargé votre ischium (l'os coxal sur lequel on s'assoit)
On est souvent assis au yoga (et encore plus en méditation) en tailleur (Sukhasana) ou en lotus (Padmasana) sur un tapis de yoga pas toujours très épais. Le petit os saillant que vous ressentez dans cette posture s'appelle l'ischium. Lors de posture comme le Paripurna-navâsana (le bateau), le poids du corps appuie sur cette zone et blesse les muscles. Si vous ressentez une douleur vive dans le bassin, arrêtez-vous pendant quelques jours.
Quelques conseils pour éviter de se blesser :
Préférez un bon alignement à une posture tenue très longtemps.
Écoutez votre corps. Si vous avez mal, c'est qu'il faut lever le pied.
Équilibrez vos étirements et exercices de musculation. Chaque fois que vous étirez un groupe musculaire agoniste, le muscle antagoniste doit faire le mouvement opposé. Par exemple, si vous fléchissez le coude, il faut à la fois faire travailler le biceps (agoniste) et le triceps (antagoniste). Voici la liste des muscles agonistes et antagonistes pour mieux se repérer.
Pensez à espacer les étirements entre eux d'au moins 30 secondes pour laisser au corps le temps de réagir et de comprendre vos "commandes"

Pourquoi il ne faut pas avoir honte de parler de sexualité?

Pourquoi il ne faut pas avoir honte de parler de sexualité?
Sus à la timidité ! Parler sexualité à ses amis n'aurait rien à voir avec de l'exhibitionnisme verbal et permettrait même de se sentir mieux et de briser des tabous. Fleurissez votre langage, c'est bon pour la santé (et le reste).
On a toutes dans notre entourage une copine experte en détails croustillants, toujours partante pour révéler l'intégralité (et sans filtre) de sa vie sexuelle. Face à son exposé, vous rougissez, fixez les lacets de vos chaussures, quand vous ne lui intimez pas d'arrêter son récit un peu gênant. Pour certaines experts et sexologues avertis, raconter sa vie sexuelle est pourtant salutaire. D'après la sexologue clinicienne américaine Rena McDaniel interrogée "parler de cul" est non seulement sain mais également valorisant. "Il y a encore quelques tabous culturels sur le fait de parler librement de sa vie sexuelle avec ses amis, en particulier chez les femmes. Mais parler de sexe est une excellente façon de déstigmatiser une partie normale et saine de sa vie."
"Les filles bien ne parlent pas de sexe"
Un récent sondage mené par LifeStyles a révélé que 63 % des gens ne trouvent toujours pas acceptable que les femmes soient aussi actives sexuellement que les hommes. Difficile de faire plus sexiste. Pourtant, l'idée est tenace. Selon la sexologue, ce stéréotype est d'ailleurs problématique. "Lorsque nous évitons certains sujets liés au sexe et à la sexualité parce qu'ils sont durs ou qu'ils nous embarrassent, nous nous ne rendons pas service. Au lieu de guérir, nous plongeons plus profondément dans la honte et la clandestinité."
En abordant ouvertement des thématiques liées au sexe, la parole se libère autour de questions essentielles et parfois très sensibles comme le consentement, le plaisir féminin, la masturbation voire même le viol conjugal. Rester sourde ou muette face à ce genre de sujets renforce également le préjugé qui consiste à croire que le sexe est un domaine masculin, et qu'il n'y a que le désir de l'homme qui compte.
Répétez après moi : VUL-VE
Alors, pourquoi un tel blocage, une telle gêne dès qu'il s'agit de parler de sexe, même entre copines ? Pour Liv Strömquist, auteure de la bande dessinée L'Origine du monde, nos réticences à nommer le sexe féminin est intimement lié à notre culture occidentale. "Chose curieuse dans notre culture, la représentation ou la mention des parties visibles externes de l'entrejambe sont rares. En effet, notre société semble avoir bien du mal à articuler le mot vulve".
D'autant que tous ses synonymes sonnent bizarrement à nos oreilles. Chatte ? Vulgaire. Foufoune ? Infantilisant. Con ? Insultant. Puisqu'il est souvent considéré comme un simple "trou", pourquoi d'ailleurs s'embêter à le nommer ? Selon la psychologue américaine Harriet Lerner citée par la dessinatrice, la confusion linguistique entre "vagin" et "vulve" et la difficulté à utiliser des termes précis participent à rendre le sexe féminin invisible. Et d'invisible à informe, il n'y a qu'un pas. "Le langage dissimule le fait que le sexe féminin a aussi des parties externes et cette description incomplète prête à confusion. Toute adolescente qui se baserait là-dessus en s'examinant devant un miroir en arriverait à la conclusion qu'elle est difforme", analyse la psy en étudiant un manuel d'éducation sexuelle populaire dans les années 1980.
Kezaco "va-jay-jay" ?
En 2005, quelques années après la diffusion de la série Sex and The City qui révolutionnait les codes télévisuels en y injectant un langage plus cru, la productrice Shonda Rhimes était pourtant contrainte d'inventer le mot vajayjay dans sa série Grey's Anatomy parce que les broadcast standards(l'équivalent du CSA en France) considéraient que le mot "vagin" avait été trop utilisé dans ce show médical. "Nous devrions appeler les parties du corps telles qu'elles sont. Cela me semble ridicule d'être accusé offenser la sensibilité des spectateurs en nommant simplement quelque chose que 50 % de la population possède", s'offusquait-elle à la National Public Radio. L'époque où Samantha de Sex and The City parlait de cul à l'heure du brunch est bien loin... Aucune série n'a su depuis parler aussi ouvertement de sexualité, à part peut-être sa petite soeur Girls ou encore Masters of Sex.
Sex and the city
Conclusion : n'ayons plus peur de parler de votre sexe, vulve, vagin, ovaire et con ; de poser des questions lorsque nous avons un doute. En somme de parler de sexualité naturellement. La chose peut sembler étrange et pourtant combien de femmes encore aujourd'hui rougissent lorsque l'on parle de clitoris et n'osent pas aller voir le médecin lorsqu'elles ont une mycose ? Sans parler de celles qui se sentent difforme et ont recours à la chirurgie pour se "corriger" ou se blanchir. Ce sont les tabous et les interdits qui mettent en danger, pas le fait de prononcer à haute voix le mot "vulve".

Les fruits et légumes contiennAnt le plus de pesticides ?

Quels sont les fruits et légumes qui contiennent le plus de pesticides ?
L'organisation environnementale américaine EWG vient de publier son rapport annuel faisant mention de la teneur en pesticides des fruits et légumes issus de l'agriculture non-biologique. Les fraises et les épinards sont les aliments les plus contaminés.
Si vous allez aux États-Unis, attention aux fruits et aux légumes que vous achetez, car ils sont probablement gorgés de pesticides. Voici le constat alarmant du guide annuel de l'acheteur sur les pesticides publié mardi 10 avril par l'organisation gouvernementale américaine Environmental Working Group (EWG). Réalisés par le Département de l'Agriculture des États-Unis, l'étude dévoile que 70% des fruits et légumes issus d'agriculture non-biologique contiennent des résidus de 230 pesticides différents.
Les fraises figurent en haut de cette liste noire. Ce fruit rouge consommé d'avril à juin, tant apprécié des consommateurs compte à lui seul plus de 20 résidus de pesticides différents. Côté légumes, les épinards se hissent au sommet de cet inquiétant palmarès, avec presque deux fois plus de résidus de pesticides que tous les autres légumes.
"Dirty dozen"
Après les fraises et les épinards, viennent les nectarines, les pommes, les pêches, les poires, les tomates, les raisins, les cerises, et les pommes. Surnommés "dirty dozen" ("la douzaine contaminée"), 98% de ces produits contiennent au moins un pesticide, indique le rapport. Cette liste se révèle quasiment identique à celle de l'année dernière, à l'exception près que le nombre de pesticides détectés s'élevait à 178 en 2017, et à 230 en 2018. Les auteurs du guide annuel de l'acheteur sur les pesticides précisent que les aliments issus de l'agriculture biologique contiennent quant à eux généralement moins de traces de pesticides.
En 1996, les lois fédérales américaines ont exigé que l'Environmental Protection Agency (EPA) étudie le potentiel de nuisance des pesticides sur la santé humaine. Une récente étude publiée dans la revue scientifique JAMA Internal Medicine a notamment souligné un lien probable entre l'exposition aux pesticides dans les produits alimentaires et baisse de la fertilité.
Les 15 fruits et légumes qui contiennent le moins de pesticides selon l'EWG :
Avocats
Le maïs sucré
Ananas
Chou
Oignons
Petits pois sucrés surgelés
Papayes
Asperges
Mangues
Aubergines
Melon blanc (honeydews)
Kiwis
Melon (cantaloupe)
Choufleur
Brocolis
Avocats, ananas, mais : les aliments les moins touchés
Quelques astuces pour réduire les risques d'exposition aux pesticides :
En février dernier, l'association Générations Futures a passé au crible 19 fruits et 33 légumes non bio, révélant ainsi la présence de pesticides dans un grand nombre d'eux. Le raisin arrive en tête de liste des fruits les plus contaminés avec 89% de traces de pesticides dans les échantillons analysés entre 2012 et 2016.
Consommer en fonction des saisons, c'est déjà réduire son empreinte éco. Mais c'est aussi une manière d'éviter les fruits et légumes "hors-sol", souvent bardés de pesticides. Qu'on se le dise une bonne fois pour toute : il n'est pas normal de manger des tomates en hiver. Autre astuce pour réduire l'exposition à un type de pesticide varier son alimentation un maximum. Et attention : la présence de pesticides n'est pas une excuse pour éviter les fruits et légumes, dont les bienfaits demeurent incontestables

Quels aliments manger et éviter pour maximiser sa fertilité ?

Quels aliments manger et éviter pour maximiser sa fertilité ?
Vous avez décidé de faire un bébé et vous voulez maximiser vos chances de tomber enceinte ? Voici les aliments à privilégier et ceux à éviter pour booster sa fertilité.
Une grossesse peut mettre du temps à arriver et devenir une source d'inquiétude, disputes, dépression et autres joyeusetés. Les professionnels affirment qu'en général 80 % des femmes tombent enceinte dans un délai de six mois et que 15 % des couples connaissent un problème d'infertilitéen France. Pas de quoi paniquer pour autant.
Selon la doctoresse américaine Bindiya Gandhi, il suffit parfois de quelques bonnes habitudes alimentaires pour faciliter les choses. "Les régimes riches en acides gras saturés contiennent des aliments dépourvus de nutriments essentiels, de minéraux et de vitamines, ce qui rend la conception naturelle plus difficile. En revanche, le régime méditerranéen anti-inflammatoire augmente les chances des femmes de concevoir naturellement et par FIV. La clé, c'est d'avoir suffisamment de protéines, de gras et de glucides sains tout en limitant l'excès de sucres et d'aliments transformés. "
Gare au gras ? Pas forcément !
Alors que l'on conseille presque systématiquement des régimes pauvres en matières grasses, des études ont prouvé que les femmes consommant des produits laitiers entiers étaient plus fertiles que celles qui consommaient des produits laitiers non gras ou écrémés. Les laitages entiers favoriseraient une certaine protection contre l'infertilité ovulatoire. Quant aux graisses en général, pas de paranoïa. Il suffit de privilégier les gras polyinsaturés (de type oméga-3 et oméga-6) que l'on trouve dans certains poissons gras comme le saumon et dans de nombreuses graines (lin, noix, colza).
Le point sur les protéines
Selon l'experte, consommer quotidiennement des aliments comme les haricots, les noix et les légumineux, ainsi que du poisson et des œufs n'aurait aucun impact négatif sur la fertilité. Ce qui n'est pas le cas de la viande rouge et des volailles, par exemple, qu'elle conseille de limiter. Dans tous les cas, elle recommande fortement de ne consommer que des aliments issus de l'agriculture biologique, de préférer les œufs de poules élevées en plein air et la viande d'animaux nourris à l'herbe.
Vous n'êtes pas fan de légumes ?
Manger des légumes à chaque repas assure au corps des vitamines et minéraux essentiels, mais si vous avez du mal avec la plâtrée de brocolis à la vapeur, des petits stratagèmes existent. Ajoutez des légumes à votre salade ou à vos gratins, glissez une carotte dans votre smoothie, découpez quelques champignons et cuisinez-les dans une omelette. Le but, c'est que vous ayez chaque jour un apport suffisant pour éviter toute carence et éviter, de fait, le steak-frites pauvres en vitamines !
Le casse-tête des fibres
Pour Bindiya Gandhi, l'une des plus grosses difficultés consiste à enrichir son alimentation en fibres tout en limitant les aliments à indice glycémique élevé. "Les aliments riches en fibres aident à stabiliser sa glycémie et à maintenir un poids santé, en prévenant les pics d'insuline et les déséquilibres hormonaux comme c'est le cas, par exemple pour les personnes atteintes de syndrome des ovaires polykystiques."
Soignez votre microbiome
"Avoir un microbiome sain dans le tractus gastro-intestinal et le vagin est impératif pour la fertilité", prévient l'experte. En gros et pour faire simple, mangez des aliments fermentés ! Kombucha, miso, choucroute, tempeh, yaourts entiers... Ils diminuent les chances d'infections vaginales et aident à maintenir le système immunitaire de votre intestin.

mercredi 10 octobre 2018

Pour votre santé, arrêtez d'aller au resto

Pour votre santé, arrêtez d'aller au resto
Si vous avez l'habitude d'aller régulièrement au restaurant, cette étude va vous terrifier. En effet, selon une récente étude américaine, manger à l'extérieur pourrait être dangereux pour notre santé.
Hamburger fondant, pizza aux quatre fromages ou pièce de bœuf bien savoureuse, quand on est au restaurant, le choix est large. Et c'est justement ce qui nous plaît. Le problème, c'est que manger trop souvent dehors pourrait avoir des conséquences sur notre santé et notre organisme.
Selon une étude révélée par le site du Guardian et menée par des étudiants de l'Université Georges Washington aux Etats-Unis, il serait dangereux de manger trop souvent au restaurant. En effet, les recherches ont démontré que le risque d'exposition aux phtalates pourrait augmenter de 35 % chez les personnes mangeant régulièrement à l'extérieur.
Cette étude a été réalisée entre 2004 et 2015, en examinant le comportement alimentaire de 10 253 personnes. Parmi le groupe entier, 61 % ont rapporté avoir dîné dans un restaurant la veille. Les étudiants ont ainsi analysé les urines des participants, pour mesurer le taux de phtalate. Ils se sont également basés sur les plats consommés, les différents restaurants fréquentés ainsi que les différents ingrédients utilisés dans les recettes.
Pour votre santé, évitez de manger au restaurant.
Le risque d'une exposition aux phtalates
Les phtalates sont des molécules chimiques issues de l'acide phtalique. Ce sont des perturbateurs endocriniens, potentiellement nuisibles pour notre santé. Ils pourraient être à l'origine de certains cas d'asthme, de cancer du sein, de diabète et des problèmes de fertilité. Ils sont utilisés pour augmenter la flexibilité et la durabilité du plastique et donc fréquemment présents dans les emballages alimentaires, les gants, les contenants, etc.
Cette étude montre également que certains types de nourriture, comme les burgers ou les sandwiches que l'on trouve dans les fast-foods, auraient le taux le plus élevé de phtalates. C'est d'ailleurs pour cette raison que les adolescents, grand amateur de cuisine rapide, seraient les plus exposés à ce risque de contamination aux perturbateurs endocriniens.
Cerise sur le gâteau : cette étude concerne également les plats que l'on se fait livrer directement chez soi, puisqu'ils sont d'abord préparés dans les cuisines d'un restaurant. Serait-ce la fin des sushis devant Netflix ?

La meilleure position pour dormir (selon la science)

Voici la meilleure position pour dormir (selon la science)
Sur le ventre, sur le dos, sur le côté, en boule, en étoile de mer... Pas toujours facile de trouver la position qui nous sied quand on tombe dans les bras de Morphée. Mais rassurez-vous : les scientifiques ont trouvé quelle est la meilleure position pour dormir.
Quand vient l'heure de s'endormir, vous vous retournez pendant des heures dans l'espoir de trouver la bonne position. Quand vous l'avez trouvée et que vous parvenez à tomber paisiblement dans le sommeil, vous vous dites que passerez forcément une bonne nuit. Pourtant, vous vous réveillez le lendemain fatiguée, mal fichue, et parfois avec le dos légèrement endolori. Et oui, car même avec une température optimisée, un matelas confortable et un bon oreiller, il arrive que vous connaissiez une nuit agitée. D'ailleurs, la meilleure position n'est pas toujours celle que l'on pense, ni la plus confortable, explique l'experte en médecine du sommeil américaine Shelby Harris à Popular Science.
Alors, quelle est cette fameuse position idéale ? D'après les scientifiques, dormir sur le dos en maintenant les bras le long de notre corps serait la meilleure posture. Pourtant, seuls 8% de la population adoptent cette position. Il faut dire que dormir sur le dos s'avère bien moins confortable qu'en position foetale, même si les médecins déconseillent d'adopter cette position lorsqu'on tombe dans les bras de Morphée. Mais quels sont les bienfaits de dormir sur le dos au juste ?
Prévenir les douleurs au niveau du dos
Comme le rappelle le site québécois Passeport Santé, dormir sur le dos présente de nombreux avantages, car il permet notamment de prévenir les douleurs au niveau du cou et du dos. Pour Shelby Harris, cette position restela meilleure option pour la gestion de la douleur dorsale et pour éviter les brûlures d'estomac. En effet, le fait de dormir sur le ventre appuie sur l'estomac exerce une pression sur l'ensemble de leur corps, ce qui peut provoquer des engourdissements et des picotements. De plus, le fait de tourner la tête d'un côté ou d'un autre pendant la nuit pour mieux respirer contribue à augmenter les risques de souffrir de douleurs au niveau des muscles du cou et des articulations.
Pour optimiser un maximum votre posture, calez l'oreiller contre le mur afin de relever légèrement votre tête. Si le caractère inconfortable de la position vous rebute un peu, vous devriez toutefois vite vous y faire, affirme Shelby Harris. En effet, cette experte du sommeil explique que notre mémoire musculaire permet de procurer une sensation de confort à notre corps après seulement quelques nuits passées à dormir sur le dos. Allez hop, ce soir on change de côté !

le mode de vie zéro déchet commence à s'immiscer

Non, faire ses courses avec ses propres emballages n'est pas scandaleux
De plus en plus en vogue, le mode de vie zéro déchet commence peu à peu à s'immiscer dans notre quotidien. Pourtant, cette pratique écolo et bénéfique pour notre alimentation a encore du chemin à parcourir avant d'envahir les rayons de nos supermarchés.
Depuis ces dernières années, le mode de vie zéro déchet prend de l'ampleur, que ce soit en France avec le succès de l'enseigne d'épiceries en vrac Day by Day, ou à San Francisco qui s'est fixé l'objectif de devenir la première ville "zéro déchet" des États-Unis d'ici 2020. Récemment, Ekoplaza, un supermarché néerlandais situé à Amsterdam, a lancé un rayon "sans plastique" avec plus de 700 produits alimentaires vendus en vrac.
Pourtant, certains ont encore du mal à accepter le concept. L'histoire de la Québécoise Danielle Doucet le prouve. Le 7 avril dernier, cette adepte du zéro déchet avait diffusé un post Facebook dans lequel elle explique comment elle utilise ses propres contenants lorsqu'elle se rend à l'épicerie, afin d'encourager les autres clients à l'imiter.
Son post est d'ailleurs devenu viral : partagé plus de 4000 fois, de nombreux internautes ont salué et encouragé l'initiative. Mais il n'a pas échappé non plus à la direction de l'enseigne Provigo, l'une des deux épiceries mentionnées dans le post de la Québécoise.
"J'ai fait une publication sur Facebook pour mes amis, mais finalement, cela a explosé, puis j'ai reçu un appel de la directrice du Provigo, qui m'a avisée que dorénavant, il ne serait plus possible de me faire servir dans mes contenants", a expliqué Danielle Doucet à ICI Radio Canada.
La réaction du magasin est pour le moins surprenante (pour ne pas dire aberrante) : Julie Goulet, directrice de l'établissement, a prié Danielle Doucet de ne plus utiliser ses propres contenants pour stocker sa viande. Son argument : le manque de salubrité et le risque de "contamination croisée". Celle-ci a précisé à ICI Radio-Canada qu'elle maintiendrait cette politique "pour le moment", mais qu'elle pourrait la revoir "si le mouvement zéro déchet venait à prendre de l'ampleur au Québec".
Bref, on risque (hélas) d'attendre encore longtemps avant que tous les magasins alimentaires se décident à dire adieu au plastique et que les consommateurs adoptent le mode de vie zéro déchet. Pourtant, nous gagnerons tous à le pratiquer. Pour vous le prouver, on vous donne 3 excellentes raisons de l'adopter.
1- Préserver la planète
Depuis 1950, 9 milliards de tonnes de plastique ont été produites dans le monde. Or, cette production est responsable de la mort de 1,5 million d'animaux chaque année. Par ailleurs, près de 9 millions de déchets plastiques (et donc non biodégradables) par an polluent nos océans. Il est urgent de lutter contre ce fléau, même à petite échelle, en réduisant le plus possible notre consommation de produits plastiques au quotidien.
Comment pouvons-nous agir à notre petit niveau ? En faisant attention à ce que l'on achète. On privilégie par exemple les contenants en inox, métal ou verre et on évite (dès que possible) d'opter pour des produits sur-emballés quand on fait ses courses au supermarché.
En effet, qui n'a jamais passé plusieurs minutes à dépiauter l'emballage plastique d'un produit cosmétique ou alimentaire en soupirant d'impatience, mais surtout en se demandant à quoi pouvait bien servir cette protection ? Si vous vous êtes déjà posé cette question, vous en êtes probablement arrivé à la même conclusion que nous : "à rien".
2- Faire des économies d'argent
Eh oui, adopter le mode de vie zéro déchet permet non seulement de préserver la planète, mais également votre portefeuille. Pauline Imbault, coordinatrice de laMaison Zéro Déchet à Paris, le pratique depuis plusieurs années. Pour elle, l'impact sur son portefeuille est bien réel : "Cela réduit vraiment nos dépenses à long terme, puisqu'on achète beaucoup moins souvent de produits, en dehors des aliments. Donc, au final c'est un investissement intéressant", explique-t-elle.
Quelques exemples pratiques à mettre en place pour réduire ses déchets et ses dépenses :
Faire ses courses avec son totebag
Fabriquer sa propre lessive (environ 15 euros pour 5 litres)
Remplacer les produits d'entretiens par du vinaigre blanc (environ 3 euros le litre) et du bicarbonate de soude (environ 4 euros le kg)
Arrêter les cotons et utiliser des lingettes lavables pour se laver le visage/ se démaquiller.
3- Limiter l'exposition aux perturbateurs endocriniens
Le contact prolongé avec le plastique n'est pas sans risques. Plusieurs études ont en effet démontré que l'exposition au bisphénol A et au phtalate (types de plastique que l'on retrouve dans beaucoup de produits du quotidien) agissent comme des perturbateurs endocriniens et peuvent interférer avec notre système hormonal, ce qui entraîne parfois une baisse de fertilité. Réduire sa consommation de plastique au quotidien permet donc du même coup de préserver notre santé.
Comme l'explique l'autrice française Bea Jonhson dans son best-seller Zéro Déchet, acheter en vrac permet également d'améliorer son alimentation. "Vivre sans déchets incite à faire ses courses dans les magasins bio (grâce à leur disponibilité en vrac), lesquels proposent une nourriture typiquement plus saine que les grandes surfaces. Il encourage à acheter des aliments complets (plus facilement disponibles sans emballage), ce qui limite la consommation d'aliments surtransformés".
Rassurez-vous : le terme "zéro déchet" n'est pas à prendre au pied de la lettre. En réalité, le concept se réfère à une manière de consommer et de vivre au quotidien qui a pour objectif de réduire ses déchets le plus possible, selon les moyens dont chacun dispose. Pauline Imbault le résume d'ailleurs parfaitement : "Le zéro déchet n'est pas une dictature mais un mode de vie, une philosophie à adapter selon nos valeurs".

Souffrez-vous de vulvodynie ?

Souffrez-vous de dépression du vagin ?
En d'autres termes, souffrez-vous de vulvodynie ? Cette affection douloureuse touche les organes génitaux féminins et concerne de plus en plus de femmes. Voici les symptômes de ce mal et les solutions pour y rémédier.
Vous adorez la série Sex and The City ? Ça tombe bien, nous aussi ! Dans un épisode, Charlotte consulte un gynécologue pour une gêne et ressort avec un diagnostic pour le moins surprenant : son vagin souffre de "dépression". En termes plus médicaux, il se pourrait que Charlotte, tout comme vous ou d'autres femmes, souffre de vulvodynie.
En 2003, la Société Internationale de Pathologie Vulvaire établit un rapport sur la vulvodynie et définit cette affection comme "un inconfort vulvaire chronique, le plus souvent à type de brûlure, sans lésion visible pertinente et sans maladie neurologique cliniquement identifiable".
Cette pathologie chronique est malheureusement encore beaucoup trop méconnue dans le monde gynécologique. Pourtant, de plus en plus de femmes souffrent de ce mal et ne trouvent aucune solution pour apaiser leurs douleurs.
Les symptômes de la vulvodynie
La plupart du temps, la vulvodynie est décrite comme une sorte de gêne. Pourtant, ces symptômes peuvent être bien plus graves. Généralement, les femmes affectées se plaignent de sensations de fortes douleurs sur les organes génitaux externes.
Le National Health Service (système de santé publique du Royaume-Uni) définit la vulvodynie par une sensation de brûlure ou de piqûre. Il explique que ces symptômes augmentent lorsqu'on s'assoit ou quand on touche la zone, qui peut d'ailleurs s'étendre sur les fesses et les cuisses intérieures. Le moindre contact, durant des relations sexuelles et même lors de l'application d'un tampon, peut devenir très douloureux. La vulvodynie peut aussi avoir des effets néfastes sur la vie sexuelle des femmes, surtout celles qui la subissent durant des mois, voire des années.
Le docteur Vanessa Mackay, porte-parole de l'Université Supérieure des Obstétriciens et des Gynécologues de Londres, explique au site The Sun que la pathologie pouvait également entraîner des dépressions et que, dans de nombreux cas, les médecins avaient recours à des antidépresseurs pour apaiser les malades. D'où l'idée de "dépression du vagin".
Les causes de la vulvodynie
Si l'on entend de plus en plus parler de vulvodynie, il y a quelques années, ce terme était encore inconnu du grand public. Aujourd'hui encore, les gynécologues sont incapables de trouver la cause de ces douleurs chroniques. Pourtant, selon le New York Post, plus d'une femme sur quatre souffrirait de cette maladie à un moment de sa vie.
Lors de l'examen, les femmes souffrant de vulvodynie ne présentent aucun signe de rougeurs, d'infections ou encore d'irritations. C'est d'ailleurs pour cette raison que la vulvodynie est rarement diagnostiquée, car il faut d'abord éliminer toutes les autres causes de douleurs, comme une MST, par exemple.
La spécialiste Vanessa Mackay indique "que si la cause exacte est encore inconnue, elle pourrait cependant être liée aux nombreux nerfs présents dans cette zone du corps".
Quels sont les traitements contre la vulvodynie ?
Pour ne pas souffrir davantage, optez pour des sous-vêtements doux, en 100 % coton. Privilégiez le port des jupes ou des pantalons larges et fluides, pour éviter tout contact douloureux.
Oubliez les produits d'hygiène intime qui ne feront qu'empirer la situation. Lavez-vous tous les jours, cela suffit amplement.
Consultez un ou plusieurs gynécologues, pour obtenir le plus de conseils possibles, et pour savoir si vous pouvez, ou non, avoir des relations sexuelles. Comme l'explique Vanessa Mackay, dans certains cas, l'utilisation de lubrifiants ou de gels spéciaux peuvent soulager les douleurs. "La méditationpeut être une bonne aide, pour apaiser son corps et son esprit", conclut-elle.

Les meilleures huiles essentielles

Les meilleures huiles essentielles pour me rebooster au printemps
Pour se redonner un coup de fouet au printemps et aborder les beaux jours avec le moral et une santé en béton, on mise sur les huiles essentielles. Quelles sont les huiles les plus appropriées pour une detox de printemps ? Celles à adopter pour plus de tonus ? Voici les conseils de Sabrina Benoit, thérapeute du réseau Medoucine.
Après de long mois d'hiver, à l'entrée dans le printemps, le corps peut présenter une certaine fatigue. En effet, nous accumulons un certain nombre de toxines, du fait d'une activité moindre, une alimentation souvent plus riche, moins de temps passé en extérieur, des infections ORL diverses. Tout cela fait que le corps est vite dépassé au sortir des mois froids de l'année. Si on ne lui apporte pas un coup de pouce dans l'élimination de ces toxines accumulées, le corps peut vite montrer des signes de fatigue, d'irritabilité, de manifestations cutanée, de prises de poids... A l'image de la sève qui remonte dans les arbres au printemps, le corps ressort de l'hiver à la recherche de nouvelles énergies.
Le printemps est la période idéale pour nettoyer le corps et l'aider à éliminer ces toxines en excès et repartir d'aplomb pour les périodes chaudes de l'année. En médecine chinoise, la période du foie correspond également à celle du printemps et donc la période propice pour détoxiner le corps. C'est également au printemps que la nature fournit les plantes drainantes et purifiantes, tant au niveau alimentation que plantes médicinales (artichaut, radis noir, ortie, pissenlit, bouleau...).
Les huiles essentielles viennent se placer judicieusement en cette période et permettent une synergie huile-organe. Elles constituent alors une grande aide pour purifier le corps et repartir de bon pied. Voici les huiles à adopter pour se rebooster au printemps.
Les huiles de la détox
Les organes d'élimination ayant particulièrement été sollicités au cours des mois d'hiver les huiles essentielles viennent les soutenir en profondeur. On ciblera notamment les huiles essentielles avec une action majoritaire sur le foie et/ou les reins, qui constituent les deux plus grands filtres de l'organisme. Ces huiles auront également souvent une action sur les fonctions globales d'élimination et non une action unique.
Le citron (Citrus limon)
On utilise le zeste. Il possède des propriétés détoxifiantes, toniques digestives et dépuratives. 
L'huile essentielle de citron active les fonctions hépatopancréatiques et digestives ainsi que les fonctions rénales. Ce qui permet une action globale. 
On le prendra à raison de deux gouttes le matin dans 1 cuillère à café de miel ou d'huile. On pourra également l'appliqué en massage sur la zone du foie (à droite sous les côtés en massant devant et derrière) à raison de deux gouttes dans un peu d'huile de macadamia.
Le romarin à verbénone (Rosmarisnus officinalis Ct verbenone)
C'est un grand détoxifiant hépatique, il régénère également la cellule hépatique. Cette huile possède également une action tonifiante sur l'organisme.
On l'utilise en massage sur le foie 2 gouttes dans un peu d'huile végétale ou 2 gouttes par voie orale dans un peu d'huile ou de miel. Cette huile essentielle est contre indiquée en cas de cancer hormono-dépendant.
La carotte (Daucus carota)
La partie de la plante utilisée est la semence. Cette huile essentielle est dépurative, drainante du foie et des reins, ainsi que régénérante de la cellule hépatique. Elle est également purifiante de la peau. On la prendra à raison de 2 gouttes le soir dans un peu d'huile.
La livèche (Levisticum officinalis)
L'organe utilisé est la racine. Elle possède une action dépurative, et détoxifiante, antitoxique. Elle a une action sur l'ensemble de nos émonctoires ou organes d'éliminations.
On la prendra à raison de 2 gouttes le soir.
Le céleri (Apium graveolens)
La partie utilisée est la graine. L'huile essentielle de céleri est stimulante et drainante rénale et hépatique. C'est également une tonique digestive. Elle se combine très bien avec celle de livèche pour les actions sur l'ensemble des émonctoires et une élimination des toxines.
Le genévrier (Uniperus communis ssp communis)
La partie utilisée est les rameaux à bois. Son action est principalement située au niveau du drainage rénale, bien qu'elle possède également une action hépatique. On l'utilisera en massage sur la zone des reins 2 gouttes dans un peu d'huile végétale ou par voie orale à raison de 2 gouttes dans un peu d'huile ou une cuillère de miel le matin.
Deux synergies peuvent être intéressantes on utilisera alors l'une ou l'autre.
- Combinaison hépato-rénale 
Huile essentielle de romarin à verbénone 4 ml 
Huile essentielle de Citron 3 ml 
Huile essentielle de carotte 1 ml 
Huile essentielle de genévrier 2 ml 
On prendra 2 gouttes de ce mélange le matin dans un peu d'huile végétale ou une cuillère de miel, pendant 3 semaines. (1 ml = 35 gouttes)
- Combinaison détox globale 
Huile essentielle de livèche 1ml
Huile essentielle de céléri 1ml
Huile essentielle de carotte 1 ml 
A raison de deux gouttes matin et soir dans un peu d'huile végétale ou de miel pendant 3 semaines.

Huiles essentielles detox
Les huiles de la fatigue
Les huiles vues précédemment éliminant les toxines de l'organisme vont relancer l'énergie du corps. Le citron et le romarin possède également des propriétés toniques pour le corps. Pour une action de fatigue plus importante on pourra penser aux huiles suivantes.
La menthe poivrée (Mentha piperita)
C'est une huile aux propriétés stimulantes générales, ainsi que tonifiante de l'ensemble des fonctions digestives. On la prendra à raison de 2 gouttes le matin sur un peu de miel ou de sucre, ou également en olfaction pour une action bienfaisante immédiate.
L'épinette noire (Picea mariana)
L'huile essentielle d'épinette est particulièrement recommandée en cas de grande fatigue. C'est une huile aux propriétés dites cortisone like c'est-à-dire qu'elle stimule les glandes surrénales. On l'utilisera à raison de deux gouttes le matin par voie orale dans un peu de miel ou d'huiles. On pourra également l'appliquer en massage sur les surrénales à raison de deux gouttes dans un peu d'huile végétale.
Le pin sylvestre (Pinus sylvestris)
C'est une huile aux propriétés stimulantes générales tant dans les fatigues physiques que nerveuses. On l'associera à l'huile essentielle d'épinette noire à raison d'une goutte de chaque tous les matins dans un peu de miel ou d'huile végétale pendant 3 semaines ou en massages sur les surrénales dans un peu d'huile végétale.

Huiles essentielles anti-fatigue
Les huiles de l'allergie
Le printemps est aussi synonyme d'allergies pour certains apportant son lot d'inconforts et de fatigue u fait des symptômes. Après une détox, les huiles essentielles seront d'autant plus efficace sur les phénomènes allergiques.
L'estragon (Artemisia dracunculus)
L'huile essentielle d'estragon est antiallergique. Il est recommandé de la prendre avant l'apparition des symptômes à raison de deux gouttes le matin dans un peu d'huile ou de miel, 3 semaines par mois.

La marche pourrait augmenter la fertilité

La marche pourrait augmenter la fertilité après une fausse couche
La pratique régulière d'une activité physique aide les femmes à tomber enceinte. Mais d'après une nouvelle étude, la marche à pied serait particulièrement bénéfique pour la fertilité, notamment pour les femmes qui ont vécu une ou plusieurs fausses couches.
Marcher pour augmenter ses chances de procréer ? Voici ce que suggère une nouvelle étude publiée dans la revue Human Reproduction selon laquelle cet exercice physique peut favoriser la fécondabilité, en particulier après une fausse couche. Si on savait déjà qu'une alimentation équilibrée et que la pratique d'une activité physique régulière boostent la fertilité, la marche présenterait un avantage supplémentaire par rapport aux autres sports, d'après les chercheurs de l'Université du Massachussets qui ont dirigé l'étude.
Les recherches ont porté sur l'étude des dossiers médicaux de 1213 femmes âgées entre 18 et 40 ans. Toutes les participantes étaient en bonne santé, mais avaient fait 1 ou 2 fausses couches avant de réussir à retomber enceintes. Les auteurs de l'étude ont pris en compte plusieurs paramètres de leur hygiène de vie, notamment la nature des exercices physiques pratiqués par ces femmes.
Plus de 4h de marche par semaine
La première information importante qui ressort de cette étude est que les femmes ayant déclaré avoir effectué plus de 4 heures par semaine d'activité physique rigoureuse avaient des chances de grossesse significativement plus élevées que les femmes qui ne font pas ou très peu de sport.
"Un de nos principaux résultats est qu'il n'y avait pas de lien direct entre la plupart des types d'activité physique et la probabilité de tomber enceinte pour les femmes qui avaient déjà eu une ou deux grossesses interrompues, sauf pour la marche", a expliqué Lindsey Russo, auteure principale de l'étude.
Cette augmentation de la fécondabilité s'est révélée plus importante chez les femmes obèses ou en surpoids, expliquent les auteurs de l'étude. Plus l'indice de masse corporelle est important, plus les effets de la marche sur la fécondabilité sont importants. Ainsi, une marche de 10 minutes chez les femmes obèses augmenterait considérablement leurs chances de tomber enceinte. Le lien de causalité chez les femmes à l'IMC compris entre 18,5 et 25 kg·m était en revanche pus faible.
Réduire sa consommation d'alcool et de tabac
Les chercheurs tempèrent toutefois les résultats de leur étude en précisant que d'autres facteurs d'hygiène de vie tels qu'une alimentation équilibrée, et une consommation réduite d'alcool et de tabac contribuent certainement à favoriser la fécondabilité. "Le mode de vie est certainement plus pertinent pour ces résultats parce qu'il peut avoir un effet au niveau moléculaire. Ce que nous mangeons et ce que nous faisons sont des facteurs potentiels que nous pouvons changer pour façonner notre santé", estime Brian Withcomb, co-auteur de l'étude. 
Et bien sûr, la pratique régulière d'une activité physique reste essentiel pour rester en bonne santé, qu'on essaie de tomber enceinte ou non.

La méthode pour repérer un grain de beauté douteux

La méthode pour repérer un grain de beauté douteux
Contre le cancer de la peau, la méthode ABCDE pour repérer un grain de beauté à risque est un moyen mnémotechnique simple.
Connaissez-vous la méthode ABCDE pour détecter un mélanome? Alors que trois cent dermatologues proposent un dépistage gratuit dans leur cabinet du 14 au 18 mai, à condition de prendre rendez-vous via le site dermatos.fr, il existe un petit moyen mnémotechnique pour repérer les grains de beauté à risque.
Comme l'explique la Haute Autorité de Santé (HAS), une tache est susceptible d'être une mélanome si elle répond à l'un de ces critères:
A comme Asymétrie: une tâche est douteuse si elle présente une lésion asymétrique
B comme Bords: une tache est douteuse si elle présente une bordure irrégulière, encochée, délimitée par rapport à la peau environnante
C comme Couleur: une tache est douteuse si sa couleur n'est pas homogène. Cela peut aller du brun clair au noir foncé, ou être des zones blanches où le pigment a disparu, des zones rouges inflammatoires ou des zones cicatricielles bleutées
D comme Diamètre: une tache est douteuse si son diamètre est supérieur à 6 millimètres
E comme Évolution: une tache est douteuse si elle est évolutive dans sa taille (la lésion s'élargit) ou si sa couleur ou son épaisseur changent
Repérer un grain de beauté douteux
Importance d'un suivi régulier
En attendant, un dépistage gratuit est possible toute la semaine. Une vingtaine de médecins volontaires participent à ce télé-dépistage afin de procéder au repérage des lésions suspectes et les transmettre pour avis à des dermatologues, via une "appli" développée par le Syndicat National des Dermatologues Vénéréologues (SNDV).
La prise de rendez-vous gratuit via la plate-forme est anonyme: elle permet d'obtenir un numéro que l'on remet à l'un des 300 dermatologues participants le jour dit, explique une porte-parole du syndicat.
Ces spécialistes feront "un examen de dépistage gratuit à la recherche des cancers de la peau et non à une consultation gratuite de dermatologie. Il n'y aura aucun acte, traitement ou ordonnance" précise le syndicat.
Ce dernier rappelle l'importance d'un suivi dermatologique régulier pour les personnes à risques (présentant de nombreux grains de beauté, une peau très claire, des antécédents familiaux, ayant eu de nombreux coups de soleil pendant l'enfance, ou une addiction aux UV artificiels...).
Cette semaine de dépistage et de sensibilisation à la prévention et à la détection précoce des lésions est soutenue par l'Institut national du cancer (INCa).
80.000 cancers de la peau diagnostiqués chaque année
Le nombre de nouveaux cas de cancers de la peau a plus que triplé entre 1980 et 2012, selon l'INCa. Les carcinomes cutanés représentent 90% des cancers cutanés diagnostiqués en France. Les mélanomes cutanés représentent 10 % des cancers de la peau.

7 conséquences sur votre cerveau si on dort pas assez

Vous ne dormez pas assez ? Voici 7 conséquences sur votre cerveau
Le sommeil est un facteur non négligeable de votre bien-être et de votre santé. Si vous avez tendance à souffrir d'insomnies, à force, le manque de sommeil peut avoir des effets néfastes sur votre cerveau.
On traite souvent le sommeil comme une routine, mais il reste une priorité, notamment pour notre santé. La Fondation Américaine du Sommeil recommande que les adultes doivent dormir entre sept et neuf heures par nuit, entre 18 et 64 ans. Cependant, pour beaucoup d'entre nous, cette règle est plus facile à dire qu'à appliquer.
Il ne faut pas oublier que le manque de sommeil peut provoquer des troubles plus ou moins graves, influant sur votre stress, votre qualité de vie, votre système immunitaire, votre attention et votre humeur. Pire encore, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité peut affecter votre cerveau.
Un Français sur cinq souffre d'insomnie chronique selon l'Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV). Or quand vous manquez de repos, votre rythme circadien se dérègle ; c'est-à-dire que l'horloge naturelle de votre corps, qui vous fait nous sentir éveillée le jour et fatiguée la nuit, fonctionne de manière plus aléatoire. C'est votre organisme tout entier qui en subit les conséquences.
Le manque de sommeil fatigue également votre cerveau
Après une courte nuit ou une insomnie, votre corps sera forcément fatigué. Mais le manque de sommeil aura le même effet sur votre cerveau. Une étude réalisée en 2017 démontre que la privation de sommeil peut ralentir votre activité cellulaire cérébrale, vous empêchant d'agir ou de réfléchir normalement.
Votre cerveau, comme votre corps, a besoin d'une bonne nuit de sommeil pour retrouver son énergie, se détendre et se reposer.
Le manque de sommeil affecte votre cerveau
Le manque de sommeil augmente les risques de dépression
Certains troubles de santé mentale, comme la dépression, peuvent influer sur le sommeil. Mais l'inverse est tout aussi vrai : le manque de sommeil peut provoquer des symptômes de la dépression.
Des recherches publiées en 2006 dans le Journal de la Psychiatrie prouve que "les personnes dormant moins de six heures ou plus de huit heures ont plus tendance à être déprimé et triste que celles qui dorment entre six et huit heures par nuit", selon Bustle.
Le manque de sommeil influe sur votre hippocampe
L'hippocampe est une région du cerveau qui joue un rôle primordial dans la mémoire à long terme, les émotions et l'apprentissage. Un manque de sommeil peut malheureusement influencer ces notions : une récente étude révèle que cinq heures en moins dans votre temps de sommeil peuvent avoir un impact négatif sur la connectivité des neurones dans l'hippocampe.
Heureusement, les scientifiques ont également constaté que cet effet nuisible peut être réparé après 3 heures de sommeil ininterrompu. Ainsi, si vous avez mal dormi hier soir, il vous suffit de rattraper vos heures de sommeil cette nuit.
Le manque de sommeil affecte vos émotions
Vous vous sentez toujours énervée ou excédée après une insomnie ? Il y a une raison scientifique à cela : une étude réalisée en 2015 par l'Université de Tel-Aviv montre que le manque de sommeil joue un rôle sur la partie du cerveau qui gère les émotions.
Le sommeil est un facteur très important pour la santé physique mais aussi mentale, car il permet de contrôler ses émotions.
Le manque de sommeil affecte votre cerveau
Le manque de sommeil peut vous faire prendre des risques
Quand vous n'avez pas assez dormi, les parties de votre cerveau qui gèrent les prises de décisions sont mises à mal. Selon une étude publiée sur le site de Forbes, les personnes n'ayant dormi que cinq heures faisaient des choix plus risqués que les bons dormeurs.
Les recherches démontrent également que les décisions impulsives augmentaient avec les autres effets du manque de sommeil.
Le manque de sommeil stoppe la production de mélatonine
La mélatonine est une hormone naturellement produite dans votre glande pinéale. Elle joue un rôle essentiel dans le maintien d'un bon rythme de sommeil. Cependant, quand votre rythme circadien est interrompu par un manque de sommeil, votre production de mélatonine est dérangée.
Selon certains scientifiques estiment qu'un taux faible de mélatonine pourrait causer des problèmes tels que le cancer, la dépression, l'hypertension, etc.
Le manque de sommeil peut impacter votre motricité
La privation de sommeil peut impacter de manière négative vos fonctions cognitives liées à votre motricité et à votre coordination. Cela peut ainsi influencer votre travail, s'il est manuel, votre façon de conduire, etc.
Même s'il est normal d'aimer prolonger ses soirées entre amis et ses sorties, vous devez penser à votre bien-être et ne pas oublier que le sommeil est primordial pour votre santé.

Souffrez-vous de "migraine du week-end" ?

Souffrez-vous de "migraine du week-end" ?
Quoi de plus rageant que de se retrouver avec une migraine carabinée après une semaine de travail harassante ? Non, on ne parle pas de gueule de bois mais d'un phénomène de santé bien réel surnommé " migraine du week-end ". Voici ses causes et comment l'éviter.
Peut-être avez déjà été confrontée à cette situation très désagréable où vous avez été en forme toute la semaine au travail mais qu'une fois que le week-end arrivé, une terrible migraine vous assaille au point de vous gâcher ces deux jours de repos pourtant largement mérités. De quoi retourner au bureau lundi en traînant des pieds avec l'impressions de ne pas du tout avoir profité de votre fin de semaine.
Ce phénomène porte un nom : on le surnomme "la migraine du week-end". Un mythe ? Pas du tout. Comme le souligne le site PureWow, une migraine de fin de semaine correspond à une douleur au niveau des tempes et des yeux, déclenchée par un changement de rythme de vie.
On parle de migraines du week-end, car elles surviennent généralement le samedi vers 9h du matin. Ce syndrome est également connu sous le nom de "maux de tête d'éjection".
Quels sont les facteurs qui favorisent les migraines du week-end ?
Au cours d'une journée de congé, vous dormirez probablement plus tard, consommerez plus d'alcool, boirez de la caféine et vous accorderez sans doute un petit écart alimentaire (votre dernier burger-frites ne remonte-il pas à vendredi dernier?) Or, quand toutes ces conditions sont réunies, le terrain est favorable aux maux de tête d'éjection.
Mais parfois, il suffit d'avoir travaillé d'arrache-pied toute la semaine pour se retrouver avec une migraine carabinée le samedi matin, et ce même sans avoir vu une goutte d'alcool la veille. Terriblement injuste, n'est-ce pas ? Mais ainsi est fait le corps humain.
En effet, il est courant d'éprouver des maux de tête une fois (et seulement) qu'on relâche toute la fatigue et le stress emmagasinés au cours de la semaine : c'est l'effet d'éjection.
Migraine du week-end
Comment prévenir ces migraines ?
Évidemment, la solution n'est pas de ne plus jamais vous reposer puisque que votre organisme a besoin de souffler pour fonctionner de manière optimale. En revanche (et cela déplaira sans doute à un grand nombre d'entre vous), il est recommandé de ne pas trop modifier votre cycle de sommeil.
Oui, même si cela signifie se réveiller à 7 heures du matin un samedi. Vous pouvez également éviter de forcer sur le café, au profit d'une bonne boisson détox.
Cependant, comme l'explique le médecin Michel Cymes : "Quand arrive le week-end, on se sent plus relax. On a moins tendance à se jeter sur le "petit noir". C'est ce qui peut faciliter les maux de tête, les vaisseaux sanguins étant plus dilatés. Si on a mal au crâne le samedi, on peut prendre un café." En d'autres termes, vous pouvez boire un peu de café pour vous soulager mais à condition de ne pas en abuser.
Et bien sûr, évitez de boire des litres d'alcool le vendredi soir, car migraine du week-end ou pas, vous risquerez de toute façon de vous réveiller avec une méchante gueule de bois. Si vous sortez, limitez-vous à un ou deux verres et consommez un maximum toute la soirée afin d'éviter la déshydratation.
On vous l'accorde, il y a des manières plus fun pour célébrer la fin de la semaine. Mais c'est un petit prix à payer pour profiter d'un week-end paisible garanti sans maux de tête.

La grossophobie

"Gros n'est pas un gros mot" : le livre qui démonte la grossophobie
Daria Marx et Eva Perez-Bello du collectif Gras Politique viennent de sortir un livre sur la grossophobie. "Gros n'est pas un gros mot" revient sur tous les préjugés sur les gros et les discriminations dont ils sont l'objet.
Dites-le : gros, gros, gros, gros, gros. Plein de fois, sur tous les tons. Voilà, ça fait du bien. Parce que non, gros n'est pas un gros mot, mais un qualificatif. C'est l'une des choses qu'on voulu démontrer Daria Marx et Eva Perez-Bello du collectif Gras Politique en publiant le 23 mai un livre qui décrit la grossophobie. Dans Gros n'est pas un gros mot, elles décrivent ce qu'est la vie de près de 20 % de la population française et démontent tout un tas de préjugés qui fondent la grossophobie. "On voudrait que les gens comprennent qu'il y a un côté systématique de cette discrimination et que l'Etat y a un rôle", explique Daria Marx.
Gras Politique existe depuis deux ans. Flammarion est venu chercher les deux autrices parce qu'il existe très peu de livre sur les gros. "A part le livre de Gabrielle Deydier [On ne naît pas grosse], il n'y a pas de livres sur le sujet, pas de littérature, pas d'étude ni de théorisation. Alors qu'aux États-Unis par exemple, il y a des fat studies", explique Daria Marx.
Être gros n'est pas une "maladie de la volonté"
Si on vous répète à longueur de journée que vous avez un grand nez, du matin au réveil, jusqu'à votre coucher le soir, vous allez forcément développer un mal-être terrible à propos de votre nez. Pour les personnes grosses, c'est exactement la même chose. On leur répète à longueur de journée ou on leur fait comprendre, dans leur famille, dans les transports, à l'hosto, dans la rue, en ne le embauchant pas... qu'elles sont grosses.
Gros n'est pas un gros mot, sortie le 23 mai 2018
Alors première chose, non, être gros n'est pas une maladie de la volonté. Comme le rappellent Daria Marx et Eva Perez-Bello, les gros font constamment des efforts pour entrer dans le cadre auquel on les contraint. Avec des régimes souvent qu'on leur impose ou qu'ils s'imposent parfois depuis leur enfance. "Un obèse est forcément un glouton accro aux hamburgers. [...] peut-être qu'il leur est impossible de ne pas manger jusqu'à la douleur. Mais cette pulsion incontrôlable s'appelle un trouble du comportement alimentaire, et c'est une maladie reconnue. La seule volonté ne suffit pas à guérir d'une maladie. Sinon les entreprises de pharmacologie auraient de très mauvais jours devant elles."
Dans son livre On ne naît pas grosse, Gabrielle Deydier compare les injonctions à maigrir faite à une personne grosse à celles d'arrêter la cigarette. "Sauf que c'est encore pire, on est obligé de manger ! Et plutôt que de s'intéresser à ce qu'on mange on devrait demander "pourquoi tu manges mal ?", réagit Daria Marx. Et non, être gros n'est pas un plaisir : "De même que personne ne souhaite attraper la grippe ou développer un cancer, personne ne désire être gros. Qui voudrait être l'objet de moquerie, de harcèlement, la victime de discrimination ?"
"On est au courant qu'on est gros, on a pas besoin de nous le rappeler"
Les discriminations justement, elles les décrivent, parce qu'elles se cachent dans toutes les interstices de la vie. Parmi les plus graves, celles qui interviennent dans le milieu médical. "Elle empêche les gros d'aller chez le médecin. Le matériel est mal adapté, les diagnostics sont mal faits. Les médecins n'ont pas l'habitude de parler et de mobiliser les corps obèses", explique Daria Marx. En somme, la grossophobie est dangereuse pour la santé. "La grossophobie médicale, c'est terrible. On vient avec une douleur et on repart avec la douleur supplémentaire" d'avoir été mal écouté.
Dans le livre se succèdent les exemples : une personne grosse entre chez un spécialiste pour un problème de peau et en ressort avec des conseils pour de la chirurgie bariatrique. Avec les gro·sse·s, la terre entière s'improvise spécialiste. "Votre corps ne vous appartient plus, sous couvert de sollicitude. On est au courant qu'on est gros, on a pas besoin de nous le rappeler", se désespère Daria Marx.
Et non, la chirurgie n'est pas une solution miracle. Si on a l'habitude d'être abreuvé·e d'émissions d'amaigrissements spectaculaires, l'ouvrage nous apprend une chose qui pourtant semble évidente : si on ne résout pas le problème à la racine, la chirurgie va à l'échec. "On opère beaucoup des estomacs et pas des personnes. On ne fait pas attention au côté multifactorielle de l'obésité."
"Et la grossophobie rend gros !", ajoute Daria Marx. Les autrices reviennent sur le fait que tout se joue souvent durant l'enfance. "Dire à un enfant par exemple "Attention tu vas être gros", c'est traumatisant. Soyez bienveillants." Plus on discrimine une personne grosse et plus elle se sent mal et va développer de troubles alimentaires par exemple. Dans l'entourage, si de façon obsessionnelle, on commence à fliquer le comportement de son enfant, on va créer un traumatisme lié à la nourriture et cela n'ira que de mal en pis.
Le mot "grossophobie" dans le dictionnaire et maintenant ?
Sur le front de la grossophobie, les choses n'avancent pas très vite selon l'autrice. "Il y a un investissement de la Mairie de Paris. On parle aussi à d'autre assos Queer et LGBT. Mais le féminisme lambda, ça ne les intéresse pas. On dit PMA pour toutes ! Mais aussi pour les grosses." On apprend dans le livre que certaines femmes se font refuser l'accès à la PMA au seul prétexte de leur poids.
Le collectif Gras Politique est souvent accusé de façon malveillante de faire la promotion de l'obésité sur les réseaux sociaux. "Les gens sont dans le cliché. Ils ne comprennent pas qu'on ait l'audace de se montrer grosses et vivantes. A la télé, il est toujours question des gros au travers de l'amaigrissement ou de l'humour, mais il n'y a jamais de gros autrement. Les gens ne font pas la différence et ne comprennent pas que ce que l'on subit, c'est une oppression". Les membres de Gras Politique qui militent en ligne sont souvent attaqué·e·s de manière gratuite et violente. Ces remarques désobligeantes ne sont que le reflet de cette ostracisation.
Le mouvement body positive ? Pas franchement la tasse de thé de Gras Politique. "On retrouve des corps normés, en sablier. Nous on dit : 'peut-être que mon corps n'est pas super, il y a des jours où il bien, des jours où il est moins bien, mais dans le body positive, il y a une injonction au bonheur et à aimer son corps. Il y a aussi un côté sexualisation. On est obligé de se mettre à poil pour être body positive." Daria Marx lui préfère le concept de body neutral, soit d'être juste à l'aise avec son corps.
Le mot grossophobie vient d'entrer dans le dictionnaire
Le mot grossophobie est entré dans le dictionnaire dans la dernière fournée du Robert. Une reconnaissance pour Daria Marx : "La première fois que ce mot est apparu, c'était en 1984. C'est un mot avec lequel j'ai grandi. Qu'il soit entré dans le dictionnaire, ça veut dire beaucoup. On ne pourra plus nous répondre qu'on s'invente des discriminations".