Plusieurs facteurs de risque sont associés au syndrome métabolique et certains d'entre eux sont décrits ci-dessous.
Stress
Plusieurs études ont suggéré qu’à long terme où de stress chronique peut augmenter le risque de syndrome métabolique en développement. Le stress prolongé est pensé pour perturber le (HPA) axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et provoquer un déséquilibre hormonal. La perturbation de cet axe peut augmenter le niveau de cortisol dans le corps, ce qui, à son tour, augmente le niveau de glucose et donc d'insuline. Ceci peut provoquer une augmentation de l'adiposité viscérale et la pression artérielle, ainsi que la résistance de la dyslipidémie et l'insuline. Cette perturbation de l'axe HPA peut expliquer pourquoi l'obésité abdominale est associée à des conditions telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète et les AVC.
Le surpoids et l'obésité
L'obésité centrale est une caractéristique majeure du syndrome métabolique, avec une forte association existant entre l'augmentation du tour de taille et le risque pour le syndrome. Toutefois, les personnes qui sont de poids normal peuvent encore développer une résistance à l'insuline et être à un risque accru de développer le syndrome. Certaines personnes ont une prédisposition génétique à développer une résistance à l'insuline et les gens sont plus susceptibles de développer un syndrome métabolique si elles ne parviennent pas à exercer régulièrement et maintenir un poids santé. L'obésité centrale est définie comme un tour de taille de 102 cm (40 pouces) ou plus chez les hommes et 88 cm (36 pouces) ou plus chez les femmes.
Le manque d'exercice et l'activité physique
Ceux qui ont un mode de vie sédentaire qui ne se livrent pas à une activité physique régulière sont particulièrement exposés au risque de maladies cardiovasculaires et le syndrome métabolique. Plusieurs caractéristiques de ce syndrome sont associées à un mode de vie sédentaire comme l'augmentation de l'adiposité centrale, un faible taux de cholestérol des lipoprotéines de haute densité (HDL) et une tendance à avoir une pression artérielle élevée, hypergylcemia et hypertriglycéridémie. La recherche a montré que les personnes qui regardent la télévision ou utilisent leurs ordinateurs depuis plus de quatre pattes par jour sont à deux fois le risque de développer un syndrome métabolique que ceux qui se livrent à ces activités pendant moins d'une heure par jour.
L'excès d'alcool
Consommation excessive d'alcool est associée à l'obésité, les maladies du foie gras et le cholestérol élevé et le taux de triglycérides.
Augmentation des marqueurs inflammatoires
Des études ont indiqué que plusieurs marqueurs systémiques inflammatoires sont souvent augmentés chez les personnes atteintes du syndrome métabolique, y compris la protéine C-réactive, l'interleukine 6, le fibrinogène et facteur de nécrose tumorale-alpha.